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3.72/5 (sur 34 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : TURIN , 1979
Biographie :

Pietro Scarnera réside à Bologne, où il tra­vaille dans la communication et le journalisme.
Il a réalisé des bandes dessinées et des illustrations pour Effeta, Il filo del Discorso ou encore Ottagono.
En 2009, il a remporté la sélection Emilia Romagna pour jeunes auteurs du Festival Komi­kazen avec le projet Diario di un Addio. Publié en 2009 en Italie, Journal d’un Adieu est son premier livre.

Source : Editeur
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Je les ai vus fermer le cercueil, cimenter la niche. J'ai dû, mais peut-être aussi l'ai-je voulu, tout voir. Est-ce mal de dire que j'ai aussi éprouvé du soulagement ?
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"Peut-être qu'on ne peut pas comprendre ce qui est arrivé, qu'on ne doit pas le comprendre parce que comprendre, c'est presque justifier. Mais si comprendre est impossible, savoir est nécessaire parce que ce qui est arrivé, peut se reproduire à nouveau." (P. 107)
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Nous étions traumatisés, chacun trop occupé par sa propre douleur pour se soucier de celle des autres.
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"Parler de ça en Allemagne, c'était de très mauvais goût. C'est pour ça que je le faisais chaque fois que je le pouvais pour voir la réaction de l'autre. Beaucoup de monde ne disait rien. C'étaient évidemment des Nazis. Les hommes de mon âgeétaient nazis dans 99% des cas. C'est naturel qu'en Allemagne on se taise, que les fascistes se taisent, en fin de compte, ça ne me dérange pas. Mais que dire du silence du monde civilisé, du silence des intellectuels, de notre propre silence devant nos enfants?" (P. 90-91)
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C’était comme si l’idée que j’avais de mon père avait explosé en mille fragments le matin où son cœur s’est arrêté, créant ainsi un puzzle que je n’arrivais plus à recomposer
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Avec le temps, j’avais appris à me défendre. J’avais conçu des méthodes pour éviter d’être atteint par les choses qui m’entouraient. Quand j’allais voir mon père à la clinique, par exemple, je me réfugiais dans les mots croisés. (…) C’était ma méthode pour éviter d’appartenir à cet endroit, aux choses que je voyais ici
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Mais moi, je ne comprenais rien à la personne étendue sur ce lit. Peut-être que mon père, mon père tel que je m’en souvenais moi, était piégé quelque part et ne pouvait me répondre… ou peut-être était-il déjà autre part ? Peut-être que je l’avais perdu ce matin-là, quand son cœur s’était arrêté. Et pourtant, il n’y avait aucun doute que son corps était encore en vie, ses poumons respiraient encore, et son cœur battait à nouveau
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Je me souviens que ma voix sonnait faux. Peut-être que je ne croyais pas vraiment qu’il puisse m’entendre. En fait, j’avais du mal à me dire que l’homme en face de moi était vraiment mon père. Pour moi, c’était une autre personne car mon père, je l’avais vu mourir
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Aucune expérience humaine n'est dénuée de sens ou indigne d'analyse.
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Accepte, s'il te plaît ces quatorze vers,
c'est ma façon bourrue de te dire chérie,
que je ne saurais, sans toi rester au monde
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