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Citations de Posy Simmonds (94)


Elle ne veut plus jamais qu'un homme compte autant pour elle.
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Posy Simmonds : Quand je faisais des livres pour enfants, on me demandait quand j'allais m'attaquer à mon prochain livre pour adultes, comme si les livres pour enfants ne comptaient pas. Alors que c'est primordial de faire lire les enfants ! Mais quand vous écrivez des livres pour enfants, vous êtes vu comme un auteur de seconde classe On demande même aux auteurs jeunesse qui vendent des milliers d'exemplaires à quel moment ils vont se décider à écrire un livre sérieux. Et on imagine qu'ils aimeraient passer du côté adulte ! C'est pareil pour les cartoons. Les gens pensent que ça doit être super amusant à faire, ils nous disent : "Moi aussi, j'ai toujours voulu faire ça, je n'ai juste pas le temps". Comme si c'était facile. C'est tellement méprisant !
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Il était une fois un chat qui appartenait à un boulanger vieux et avare et à sa femme, la pire des paresseuses.
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Alors Zoé se mit à virevolter avec l’ours , Paul à tourbillonner avec le tigre et les deux renards valsèrent ensemble.
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Sa maman, elle a une chemise de nuit rose et elle est assise sur une vache.
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Quand elle s'est sentie un peu remise de sa grippe, Gemma a quitté Charlie pour rentrer chez elle, à Shepherd Bush, le 12e arrondissement de Londres.
Et là, dit son journal, elle succombe à un virus bien plus éprouvant nommé AMOUR. Putain d'amour, comme elle l'écrit, putain d'amour qui l'a poussée dans les bras de ce putain de Patrick. Qu'elle aimait comme elle n'avait jamais aimé personne. Qui l'a jetée. D'où le putain d'amour ! Elle ne veut plus jamais qu'un homme compte autant pour elle. Sans parler du gavage ! Elle a pris huit kilos. Patrick l'a bourrée, engraissée comme une truie, puis la quittée pour Pandora Kent (taille 36).
L'histoire du gavage a l'air vraie. Patrick l'a emmenée dans trente-cinq restaurants, chiffre prodigieux compte tenu de la brièveté de leur liaison. Cela dit, le métier de Patrick était de manger. C'était le critique astronomique de CITIZONE.
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- ...Non...en fait j'ai vu sa photo en cabochon avec son nouveau nez...mais je ne sais plus quand je l'ai vue en vrai pour la dernière fois...
- Ecoutez Nick...Vous ne cessez de dire "votre président", mais je n'ai pas voté pour ce salaud...
- Excusez-moi, Glen...je viens juste de me rappeler...j'ai oublié de faire un truc...
- Saa-lut !
- Mon Dieu ! Quand on parle du loup...Tamara !
- J'ai oublié le code de maman. Je suis vraiment désolé si ça a dérangé.
- Non non...bien sûr que non.
- (Mmmm Nom d'un chien)
Étrange le regard qu'un jolie femme s'attire. N'importe quelle créature belle et féconde - une superbe brebis , mettons - est contemplée avec admiration. Ici je ne sens rien de tel...je capte...du désir, oui, mais aussi surprise, irritation, désapprobation. Et pourquoi ce regard de Tamara à Nick quand il s'est éloigné ?
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Posy Simmonds
Quand je travaille sous pression, mon esprit fait des étincelles !
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Je n’ai pas vécu comme une femme est censée le faire. J’ai obéi une fois aux conventions en me mariant. Terrible erreur, mais leçon utile (connais-toi toi-même) : je suis nulle pour vivre avec des gens. Je n’ai d’intérêt ni pour la vie domestique ni pour les enfants. Je suis solitaire, vieille fille dans l’âme, responsable devant personne, à charge de personne.
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Mais je ne peux imaginer sa déprime... ces petites pièces sombres, encore plus sombres et plus petites quand son mari s'y trouve.
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Jane McMullen s'est jetée sur la chaussée sans regarder et a traversé Picadilly ventre à terre – en route, je le savais, pour la galerie. J'ai prié pour un accident fatal : en un clin d’œil, Jane fauchée par le bus 19 et à moitié traînée jusqu'au Ritz.
Mais Jane a traversé la rue saine et sauve et a continué vers Brummel Yard.
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Cocher la bonne case:

Miss Brown est l'institutrice de John.
Tous les enfants assis sagement en train de l'écouter [lire un livre] c'est dans:
- sa classe
- ses rêves
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Etrange, le genre de regard qu'une jolie femme s'attire.
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C'est merveilleux, Nick est de bonne humeur. La différence entre Nick ce matin et ce soir est extraordinaire. Il est comme ma brosse à dents électrique après rechargement.
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- Je suppose qu'elle est venue ici trier les affaires de sa mère.. mettre la maison en vente... la fourguer à un branleur de banquier...
- Et bien, c'est une belle maison... dans un bel endroit.
- Bel endroit, oui !! Pas de magasin, pas de bus, pas d'école, pas de poste, plus de communauté ! Juste un tas d'immobilier bien astiqué à prix prohibitif. Regardez ça ! Un cottage en carton-pâte ! Ils suspendent des foutus paniers ! Étrangers ! Salauds de riches !
- Vous préférez un village de salauds de PAUVRES ! C'est ça ?.. comme dans le temps... frissonnant devant des feux de bouses.
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- L'odeur de campagne qui me rend nostalgique ? ... ben à vrai dire, aucune !
- Aucune !? Même pas dans votre enfance ? Le bois qui fume ? Ou l'haleine de vache ?
- Nan. En fait...l'odeur de la colle peut-être... ouais... sniffer de la colle près du monument aux morts quand j'avais douze ans.. ouais...
- La colle ?
- C'est ce qu'on faisait.. comme les gamins aujourd'hui..., bon, ils prennent sans doute d'autres trucs - des trucs qu'on pouvait pas avoir...
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Mon problème à Stonefield, c'est le luxe, le confort insolent. Il y a quelque chose de profondément corrupteur dans ces oreillers en duvet, ces draps de percale, ces fauteuils profonds, ces feux de bois, ces chaises longues voluptueuses dans des coins ombragés, la nourriture exquise et le vin. Tout ça met mal à l'aise. Est-ce qu'un écrivain vivant comme un coq en pâte peut espérer la visite de sa Muse ?
(...)
Bon, Stonefield a ses points positifs : l'isolement, le vrai silence et à juger par mon dernier séjour ,personne ici que je ne puisse ignorer gaiement. Des confrères en écriture issus des classes moyennes, plus de trente-cinq ans, discrets, ni indigents ni défavorisés, comme à Londres. Autrement dit, absolument personne pour vous culpabiliser.
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Comme je l'ai dit, c'est le printemps à présent et les pommiers des Bovery sont en fleurs. Il y a un camion de déménagement devant la maison : les nouveaux propriétaires s'installent. Ils sont anglais, eux aussi, comme les Bovery. Un couple. Il est plus âgé qu'elle, me dit Martine. Elle a croisé la femme dans l'allée. Elle s'appelle Jane. Jane Eyre.
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À mes yeux, bien sûr, Gemma exhalait l'adultère. Pas seulement à cause du soin qu'elle prenait de son apparence. L'approcher, même d'assez loin, c'était la trouver irrésistible. Impossible d'y échapper. C'était sentir les yeux qui cherchaient la chaleur, le sourire plein feux, c'était se perdre dans un orage de phéromones.
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Était-ce la désinvolture qu'elle mettait à cette affaire ? Était-ce le chewing-gum ? Était-ce son jogging ? Je veux dire, tout de même ! Pour un rendez-vous d'amour, la femme française se parfume, se fait belle, un peu sexy, non ? Mais Gemma... elle aurait aussi bien pu aller étriller son cheval.
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