Tout le monde, dans la haute société, connaît la tragique histoire de Monsieur Mellema et de sa concubine, à l’exception, peut-être, d’Annelies. Sans en avoir conscience, Nyai a fait de sa fille un individu de second plan. Les initiatives émaneront toujours de sa mère, sous forme d’ordres impossibles à discuter. Quelle tristesse pour cette belle enfant. Sa psyché est troublée. C’est sous le crâne de sa mère qu’il faut chercher son esprit.