Les discours ne sont pas mon fort. Je préfère l’écriture. Même dans ce domaine, d’ailleurs, j’ai besoin de quelques chapitres pour m’échauffer. Je suis incapable de parler réellement d’amour (je veux dire : de parler d’amour avec talent) avant la page quinze, au moins. Alors imaginez-moi en train de le faire entre un lèche-cul et une starlette au bord du spasme nerveux…