Au fil des jours, à Firmin furent révélées d'autres identités et surtout celles des bas-officiers de sa bordée. Depuis que la Révolution avait accroché des bonnets rouges à la pomme des mâts, aucun de ces gradés ne portait l'uniforme. Il n'en commandaient pas moins pour ça ! Tous parlaient à cheval, et mieux valait ne pas se faire répéter l'ordre, si on avait hantise du fouet, de la bouline ou du bouclage à fond de cale.Les officiers, eux, se montraient peu. Il dédaignaient la vie du vaisseau en rade, ne manifestaient aucun goût pour juger du rendu des exercices de manoeuvre ou d'artillerie.
Les hommes, pourtant habitués à la dure, dormaient si pauvrement qu'ils vivaient tout le jour en somnolence. Ainsi déconfortés, ils prirent en grippe villes et paysages.
Raymond Leclerc nous livre le plus beau roman qui ait été écrit à la gloire de la plus belle, mais aussi de la plus insalissable des rivières...
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