Une aumône pour les vivants.
Un bouquet pour les morts.
Une épée levée pour la justice ...
La peine de mort pour les méchants.
Ainsi nous retrouvons-nous parmi les saints.
BAO : Depuis que j’ai fondé ce bar en 78… il a été saccagé 15 fois et entièrement rasé 6 fois. J’aimerais que le record du nombre de rénovations s’arrête là. Vous comprenez ?
REVY : Pousse-toi, Eda. T’es une tireuse de seconde zone.
EDA : Je connais le secret pour fumer ses clopes avec le front… Tu veux que je te montre ?
DUTCH : Si tu veux tout casser ou péter les plombs, libre à toi. Mais… si tu merdes, je meurs. Alors comme on dit, reste « cool as a cucumber », Revy.
REVY : Mais en résumé, quand tu vis sur le fil du rasoir, il n’y a que le fric qui compte. On arrive à rien en étant réglo.
YUKIO : Si la vie, l’honneur ou l’avenir d’une personne sont en jeu… que puis-je faire d’autre que me battre ?
REVY : Quand t’as la bonne dose de Semetex, tu peux faire des confettis de Godzilla.
YUKIO : Vivre pour la morale… lui obéir en tout point… être récompensé de sa bonté, telle est notre fierté.
GRETEL : Rappelle-moi, mon cher frère, qui disait… Que le cannibalisme est l’ultime forme d’amour ? Edgar Allan Poe ?
HANSEL : Non, ma chère sœur. Lui, c’est la nécrophilie.
GRETEL : Richard Matheson ?
HANSEL : Peut-être…
DUTCH : Je suis pas Giuliano Gemma, j’aime pas que ça canarde quand je picole.