Jean Genet avant de se brouiller avec Violette Leduc, la poussa à publier chez son propre éditeur Paul Morihien, son texte suivant, L'affamée, qu'elle lui avait donné à lire: "Ma chère Violette, c'est admirable. Paul Morihien vous publiera avec joie. Dites-moi dans quelle mesure vous êtes liée aux Gallimard. Je vous répète que c'est admirable. Ai lu des passages à Cocteau. Nous vous aimons beaucoup.