La découverte du Yi-King contribue sans doute à ramener un certain calme dans son ménage en détournant son attention. Phil est en effet fasciné par ce livre-oracle vieux de 3000 ans, et dès 1961 il le consulte quotidiennement. Il s'en servira même pour composer un de ses chefs-d’œuvre: La Maître du haut-château (1962), interrogeant le Yi-King à chacun des tournants de l'intrigue. On retrouvera des avatars de ce "livre divinatoire" dans Mensonges et Cie (1966) ou Le Guérisseur de cathédrales (1969).
("Une bulle au milieu de la mousse - Huit rencontres de Philip K. Dick" - Gilles Goullet)