Corben nous donne à voir autre chose qu'une paire de fesses. Il nous suggère que notre corps n'est qu'une maison pour nos sentiments et nos passions, l'abri donné à nos souvenirs et à nos désirs, l'antre de nos pulsions - la demeure de notre être. Il est monstrueusement disproportionné, peut-être, mais c'est que notre âme et notre conscience le sont aussi.