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4.66/5 (sur 58 notes)

Nationalité : France
Biographie :

L'Avant-scène est un magazine bimensuel culturel français créé en 1949.

Il est décliné en cinq versions consacrées respectivement au théâtre, au cinéma, à l'opéra, au ballet et à la télévision.

L`Avant-Scène Cinéma est créé en 1961. Chaque numéro de cette revue mensuelle est consacré à un film marquant de l'histoire du cinéma. Il présente les dialogues complets du film, un fac-similé de l’affiche du film, la liste complète de la distribution, des photos du film, des analyses, l’histoire de sa création, un découpage du film avec, tout au long de celui-ci, des informations sur les décors, les éclairages utilisés dans chaque scène.

On trouve également toutes les critiques de la presse parues à la sortie du film. L'Avant-scène cinéma traite de manière plus concise de films récents et de l’actualité de la vie du cinéma.

À la suite de la liquidation de la société éditrice (ALICE Édition), le 28 septembre 2009, la parution de la revue s'était interrompue. Néanmoins, à l'initiative des anciens salariés, dont notamment le rédacteur en chef du magazine, Yves Alion, un projet de reprise du titre a été accepté par le liquidateur. La parution a ainsi repris de façon mensuelle depuis septembre 2010.

son site: http://www.avantscenecinema.com/
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Source : Wikipédia
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Bibliographie de Revue L`Avant-scène cinéma   (217)Voir plus

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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Pour fêter son vingtième anniversaire, "l'Avant-Scène Cinéma" a donc choisi de payer, exceptionnellement, un tribut à l'image, mère trop délaissée du septième art.
Georges Franju a sélectionné pour nous et légendé, disons plutôt serti avec amour, une centaine de clichés rarissimes, pour la plupart jamais publiés à ce jour - en tout cas jamais rassemblés -.
On verra que Franju a limité, de propos délibéré, son champ d'investigation à une période : 1882 - 1939, de Marey à Renoir, à un procédé : le noir et blanc, à un pays : la France, conformément à sa vision personnelle de l'histoire du cinéma....
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Ce qui compte dans le temps qui vient, c'est pas le travail, c'est la paresse. Tout le monde s'accorde pour dire que le travail n'est qu'un moyen. On parle d'une civilisation du loisir. Quand on y arrivera on aura perdu tout sens du loisir. Il y a des gens qui travaillent quarante ans pour se reposer ensuite et quand il tiennent enfin le repos, ils ne savent pas qu'en faire et ils mœurent. Sincèrement, je crois que je sers mieux la cause de l'humanité en paressant qu'en travaillant. C'est vrai, il faut avoir le courage de ne pas travailler.
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L'enfance croit se qu'on lui raconte et ne le met pas en doute. Elle croit qu'une rose qu'on cueille peut attirer des drames dans une famille. Elle croit que les mains d'une bête humaine qui tue se mettent à fumer et que cette bête en a honte lorsqu'une jeune fille habite sa maison. Elle croit mile autres choses bien naïves.
C'est un peu de cette naïveté que je vous demande, et pour nous porter chance à tous, laissez-moi vous dire quatre mots magiques, véritable "sésame ouvre-toi" de l'enfance : Il était une fois...
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LE MAUDIT, off : Je veux m'échapper ..., m'échapper à moi-même... (Flash sur deux autres truands dont l'un semble très impressionné) ... mais c'est impossible. Je ne peux pas. Je ne peux pas m'échapper. (Retour sur le maudit, essoufflé) ... Il faut que je lui obéisse. Il faut courir ..., courir ..., des rues ..., des rues sans fin ! Je veux m'échapper ! Je veux me sauver ! (Flash sur deux prostituées ; l'une tord son mouchoir nerveusement) ... Et je suis poursuivi par des fantômes. Les fantômes des mères ! Et celui des enfants ! ... Ils ne me lâchent jamais ! (Il crie) Ils sont là, là, toujours. Toujours ! Toujours ! ... (Gros plan sur lui) Toujours ! ... Sauf... (Il s'affaisse)... sauf quand je le fais ..., quand je ... (Ses mains se crispent comme s'il étranglait une victime, lui-même..., puis il les laisse tomber, inertes, le long du corps) Alors, je n'en sais plus rien ... Plus tard, je vois une affiche et je lis ce que j'ai fait ... Je lis .... et lis ... et lis ... C'est moi qui ai fait ça ? ...
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Garance : C'est extraordinaire, Édouard. Non seulement vous êtes riche, mais encore vous voulez qu'on vous aime comme si vous étiez pauvre ! Et les pauvres, alors ? Soyez un peu raisonnable, mon ami. On ne peut tout de même pas tout leur prendre aux pauvres.
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Sous-Titre : "JULIETTE GRECO EN 1948" : dans une cour d'immeuble à l'abandon, genre terrain vague, Juliette Gréco, pull et pantalon noirs, les mains dans les poches, s'avance en chantant.
GRECO 48 : Si tu t'imagines, si tu t'imagines ...
Sous-Titre : "GRECO EN 1966" : Suite de la chanson sur Gréco marchant dans le magasin "Supermag" construit au même endroit.
GRECO (voix off) Fillette, fillette ...
Suite de la chanson en montage alterné sur Juliette 48 chantant dans le terrain vague appelé "La Cour du Dragon" et passant près de Marcel Pagliero et Raymond Queneau (un sous-titre précise leurs noms) et sur Gréco 66 évoluant dans le "Supermag".
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Juliette, continuant sa lecture : "L'homme d'avenir est prêt à admettre ses problèmes et à reconnaître ses fautes... Un tel homme ne craint pas de dire : "Je ne sais pas." On a le sentiment que seules les personnes sûres d'elles peuvent admettre un échec." Ca, je ne suis pas d'accord.
Robert lui prend des mains le livre et, le posant sur son oreiller, termine son déshabillage.
Robert : T'as qu'à lire autre chose si ça te plaît pas !
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Le policier : En somme, tu ne l'as pas vu de face ! Et tu n'as personne qui puisse le reconnaître, en dehors de toi ... Tu as peut-être raison, mais il te manque la preuve. Car, si jamais il était innocenté ... tu aurais de sérieux ennuis. Ou tu devais le prendre en flagrant délit ... ou retrouver ici ta bicyclette ! ... Sans ça, il n'y a pas grand chose à faire ! ...
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Jean-Louis : Dans la vie, quand une chose n'est pas sérieuse, on dit : c'est du cinéma. Pourquoi vous pensez qu'on ne prend pas le cinéma au sérieux ?
Anne, souriant : Je ne sais pas, moi.., c'est parce qu'on y va que quand tout va bien.
Jean-Louis : Alors, vous pensez qu'on devrait y aller quant tout va mal ?
Anne : Pourquoi pas ?
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LOUIS (voix intérieure) : [...] L'arrivée de jumeaux chez le duc me porta un coup terrible. Par bonheur, une épidémie de diphtérie rétablit presque immédiatement le "statu quo" et m'offrit même, en prime, la duchesse!... (Gros plan de la main qui, à l'aide du crayon, barre une couronne sur l'arbre généalogique)
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