j'étais depuis neuf ans l'assistant de Wolfe et je ne doutais pas de la solidité de certaines de ses habitudes. Je savais, pas exemple, qu'il était le meilleur détective que l'on pût trouver au nord du Pôle Sud.
Qu'il était convaincu que l'air extérieur était fatal aux poumons. Qu'il détestait être cahoté et bousculé.Qu'il aurait cessé de manger s'il était arrivé malheur à son cuisinier, Fritz Brenner, tant il était convaincu que seule la cuisine de Fritz était mangeable.Il avait d'autres idées arrêtées, sur d'autres sujets, mais je n'en parlerai pas puisqu'il lira probablement ceci.