Le reste de la journée s’est passé tranquillement. Elizabeth était très belle. Elaine était nerveuse. Roy Earle s’est absorbé dans la contemplation des alligators.
Il les a regardés, un sourire aux lèvres, et il est resté comme ça le restant de la journée, jusqu’au coucher du soleil, content comme tout, tranquille. ET PUIS TOUT D’UN COUP il a regardé la mare fixement et il a dit, d’une voix qu’envahissaient des tremblements de terre, des épidémies et des apocalypses : « NOM DE DIEU C’EST DES ALLIGATORS ! »