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Nationalité : Congo
Né(e) à : Macouria , le 30 décembre 197
Biographie :

Juriste de formation, Richard Ossoma-Lesmois est né le 30 décembre 1976 à Macouria. Le 17 janvier 2020 à Paris, ambassade de la République du Congo, il lance officiellement la Maison de la femme pour revitaliser les projets des réductions des inégalités et la parité homme-femme ainsi que l'autonomisation des femmes au Congo-Brazzaville. En mai 2020, alors que l'épidémie du Coronavirus contraint les autorités à ordonner le confinement général des français, Richard Ossoma-Lesmois publie deux nouveaux ouvrages : le premier sur la nécessité de la prévention concernant la maladie de la drépanocytose, le second sur la résistance par l'amour, au stress du confinement du fait de la propagation du virus Covid19. À travers son écriture mélangeant évasion et proximité, il s’intéresse aux fondamentaux de la famille, à l’évolution des sociétés, au brassage des cultures.
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BANNIR LA POLYGAMIE AU CONGO, exposé auteur Richard Ossoma Lesmois/ 5ème Rencontre-Signature L'Harmattan


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Richard Ossoma-Lesmois
50 millions de personnes étaient atteinte de la drépanocytose à travers le monde. Plus de la moitié en Afrique. Dans le continent noir, la mortalité restait élevé chez les moins de 16 ans. Les grands pays d'Amérique latine parvenaient à baisser considérablement la propagation de la maladie : le Chili, le Mexique, l'Argentine, le Brésil, le Cuba. Maladie des noirs, la drépanocytose intéressait moins les spécialistes de la communauté internationale.
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Richard Ossoma-Lesmois
Le dessein de la députée Mensah Sassou
Nguesso rappelle que le progrès ne vient jamais du ciel. On
ne refait pas le monde en répétant des cantiques saints ou
en pratiquant le jeûne. Pas plus qu’en en entonnant des
refrains réveillant les désirs d’améliorer le lendemain.
Encore moins, en dansant sur le podium des meetings ou
lors des rassemblements populaires et festifs.

Il n’est pas de
gourou précoce surgi de nulle part pour berner les femmes
ou de prophétesse apocalyptique qui alerte sur les
châtiments menaçant les contrevenants à sa loi. Les mains
de la députée auteure de la proposition de loi ont les yeux
qui voient les problèmes et les enlèvent. Ce qui ne manque
pas de secouer les esprits. À commencer indubitablement
par ses congénères féminins. Ils jurent de faire pleuvoir des
malheurs à sa loi. Aussi bien par le jeu classique des rejets
systématiques de toute réforme utile. Parce que, portée par
une femme donneuse de leçons. Cependant, Stella Mensah
Sassou Nguesso n’ignore pas combien l’histoire politique
congolaise renseigne que les donneurs de leçons finissent
toujours par se prendre un coup de râteau dans la figure
quand ils n’appliquent pas des leçons à eux-mêmes. De
même que le manque de bienveillance des hiérarques de la
vie politique et associative aux conceptions ringardes des
projets sociétaux. Irréductibles gardiens du temple bantou,
défenseurs du mythe de l’hégémonie masculine. Plus, les courants de l’opposition radicale au gouvernement.

Ces canaux de l’expression démocratique et de l’animation de la
vie publique encore envoûtés par le péché originel lié au
nom patronymique de la députée auteure de la proposition
de loi d’abrogation de la polygamie. Ils se referment à
donner un feu d’artifice à l’approche de la parlementaire. Ils
refusent de déboucher le filtre relationnel dans les canaux
d’expression pourtant indispensables à irriguer la
conscience des Congolais sur les améliorations apportées au
droit de la famille. Afin d’éviter le risque plein pot de pugilat
du fait de l’échec du processus législatif à propos de la
réforme Mensah Sassou Nguesso.
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Richard Ossoma-Lesmois
La drépanocytose, c'est une véritable punition sociale. Entre douleurs chroniques, hospitalisations, marginalisation.
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Richard Ossoma-Lesmois
Car la suppression de la
polygamie au Congo-Brazzaville connecte la diversité de la
société au-delà de la simple descendance bantoue. Il n’y a
pas plus africain que celui qui défend les valeurs de justice,
de respect mutuel, de valorisation de la femme à partir de la
cellule familiale. En l’espèce, réduire les inégalités existantes
entre les hommes et les femmes par rapport au mariage.
L’africanité ne se confond pas à la résistance aux mutations
comportementales vers l’ouverture aux nouvelles façons
plus souples de vivre en collectivité. L’africanité à partir de
la famille se meut, se transforme positivement par
l’importance de la place de la femme ; en fonction de la
plénitude individuelle et collective.
Stella Mensah Sassou Nguesso ne verse pas dans
l’imprécation morale.
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la réforme proposée ne brise pas le
verre pour ériger une égalité à tous les niveaux de la vie entre
les hommes et les femmes. La proposition de loi
d’abrogation de la polygamie amorce une réduction des
inégalités de droits entre les hommes et les femmes par
rapport au mariage. Par le fait, une réflexion profonde à
soigner les mentalités pour l’instauration d’une société
moderne. Pour que le Congo change, il faut que le Congolais
change. C’est-à-dire, les hommes, les femmes, les jeunes, les
vieux, fiers de leur étendard bantou, essence intrinsèque de
leur existence, doivent s’approprier les applications d’une
société qui aille de l’avant. Ils ne doivent pas rechigner de
perdre une part de leur âme pour se muter vers un nouveau
type de société où les femmes s’accomplissent par leur travail, leur opinion ou leur choix de vie. Cela n’est pas
comparable à une aliénation de l’existence. Parce que les
femmes portent la nation. Disposant des compétences
diverses aussi bien dans la cellule familiale que
l’administration des instances de la société, les femmes
attendrissent la République, génèrent perpétuellement la
paix. Un atout majeur pour le Congo-Brazzaville.
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Les femmes sont les plus exposées quand un pays connaît des troubles liés aux guerres civiles et affrontements des milices armées appartement aux groupes politiques, tribaux, religieux. La femme africaine, qu’elle soit berbère, kabyle, peule, bambara, mandingue, bantoue, zoulou, reste victime de sa culture. Cette culture simplificatrice ne la prend pas suffisamment en compte dans son épanouissement personnel. Cette culture méconnaît le rôle moteur des femmes dans le développement des sociétés contemporaines africaines.

Antoinette Sassou Nguesso ne se contente pas de regarder du haut d'estrade les femmes subir des violences. Surtout, en ces temps des luttes pour la conquête des libertés, de l'émergence économique et la consolidation de la démocratie en Afrique et au Congo-Brazzaville.
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Cela fait plusieurs années que le Congo-Brazzaville
peine à développer son agriculture. Un secteur pourtant
porteur de l’économie nationale, indispensable à améliorer
le niveau de vie des populations en termes à la fois de
satisfaction aux besoins alimentaires de base et
d’amélioration de la balance commerciale du pays. Des
études menées pour trouver des solutions nouvelles à
redynamiser l’exploitation des dix millions de terres arables
congolaises, les produits de ses bassins fluviaux, l’activité
animalière convergent au même résultat. Le Congo peut
mieux faire. Il suffit d’adopter des bonnes décisions
collectives, concevoir des programmes de redynamisation
agricoles, fixer des objectifs de développement parfaitement
atteignables. Un domaine marquant l’accroissement du
rayonnement du Congo dans la sous-région d’Afrique
centrale. Une opportunité à l’attrait des partenaires
financiers internationaux à concourir à l’émergence
économique et sociale du pays par le relèvement de
l’agriculture et de toutes les activités autour. Seulement, les
citoyens ne croient pas beaucoup à la pensée magiqued’après laquelle le secteur contribue encore à transformer le
pays. L’agriculture est le secteur de l’économie qui attire le
moins d’investisseurs et d’exploitants. Les raisons à cela, la
corruption gangrenant les organes dirigeants le
département de l’agriculture, de la pêche et de l’élevage. Les
fonds alloués, qu’ils résultent des budgets locaux ou de la
coopération internationale ne vont pas directement aux
besoins des exploitants.
Ce qui rend irréalisables, les
objectifs fixés par les grandes politiques en la matière. Autre
raison, le risque d’instabilité provoquée par l’entretien des
tensions socio-politiques dans lesquelles vivent les
Congolais. Les craintes de destructions d’épargnes
constituées par les bénéfices générés par le travail des
exploitants.
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L'ouvrage ne passe pas le sens de l’engagement politique africain, en général, et des personnalités politiques congolaises, en particulier, au billard de l’opinion contemporaine. Il ne s’inscrit pas dans la stigmatisation permanente de la classe politique dirigeante aux cris désespérés des chocs des non. Il ne se veut pas davantage le prétoire où se requièrent des déchéances politiques et idéologiques des castes politiques aux ambitions démesurées.

L’ouvrage dessine la mise à l’épreuve de l’engagement politique devant les nouveaux défis du vingt-et-unième siècle. L’éclosion démographique et les crises migratoires ; la transition écologique et la révolution numérique. Il entend apporter un éclairage complémentaire à d’autres types d’opportunités liées aux succès des ambitions politiques.

Des causes économiques et environnementales. Sociales et identitaires. Féministes et humanitaires. Médicales et scientifiques, en dehors du champ politique. Des opportunités qui intéressent le reste des populations. De sorte à offrir aux personnalités politiques et publiques d’importance, des nouvelles chances de rebondir pour les unes. Et, de connaître la gloire qui les hante, pour les autres. Enfin, agrandir des matrices idéologiques face à
la fois, aux nouveaux défis du monde contemporain et aux transformations des sociétés africaines du fait des effets de la globalisation. En vue des réussites individuelles et collectives. Par rapport aux idées de prospérité et de progrès auxquelles aspirent de nombreuses gens partout dans le monde.
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Richard Ossoma-Lesmois
les lignes brochant l’ouvrage ne proclament pas
exclusivement la réforme sociétale proposée. Le contenu
profond du livre démontre l’essor du combat des femmes au
Congo-Brazzaville pour la conquête des nouveaux droits. Des
femmes se démarquent de jouer les cosmétiques aux réunions
publiques, aux concertations politiques, aux rassemblements
populaires et festifs, aux danses et chants des loisirs. Une
nouvelle génération des personnalités féminines africaines et
congolaises fortement mondialisées, soucieuses de placer leur
engagement politique au coeur des préoccupations des gens.
Eu égard aux fondamentaux de l’engagement politique. Les
pages reliées proposent la relecture des dispositions
constitutionnelles enfiévrant l’égalité entre les hommes et les
femmes au Congo ; la mise en évidence des avancées inédites
par rapport à l’élargissement des droits fondamentaux. Contre
maintes dispositions légales et réglementaires en vigueur au
pays, entretenant des inégalités au mariage, à l’exercice des
fonctions d’autorité, à l’accès à la connaissance. L’ouvrage est
bien plus une invitation à s’emparer du débat : intellectuels,
politiques, militants d’association, personnalités notoirement
connues. Sans préjuger d’une solution définitive, il préconise
une réponse globale du problème. Une résolution issue d’une
construction collective. En outre, l’ouvrage alerte sur le rendezvous
des parlementaires congolais avec l’histoire sociale du
pays. Faites l’histoire ! Ne l’assistez pas.
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PLUS QU’UN AMI, ANTOINE, UN FRÈRE
Un voyage ordinaire à dix mille mètres d’altitude.
L’éclat printanier favorisait le déplacement. Le silence
du vol reposait. Le regard rêveur admirait les images qui
défilaient dans ma tête. Rien de précis ne m’alertait. Pas
un pincement de cœur ou un bourdonnement
d’estomac. Je n’avais pas faim ce jour-là. Deux flûtes de
champagne avalées dans l’avion me callaient. Le service
des hôtesses agrémentait le voyage. Les sièges des
passagers brillaient, dessinant le confort des premières
classes. Tout était calme. Par la fenêtre, j’observais
l’énorme aile de l’avion planer au-dessus de Bergamo.
L’habitude. Antoine et moi voyagions souvent. Tantôt,
des voyages en mission commandés par le travail.
Tantôt, des déplacements purement privés pour des
raisons familiales ou de convenances personnelles.
L’escale de Paris ne m’agitait pas outre mesure. Je
rentrais en Italie. Le 24 mai 2005 à 20h30, j’apprenais
avec stupéfaction, le décès d’Antoine survenu le 17 mai
2005. Une semaine s’écoulait déjà qu’Antoine nous
quittait. L’arrivée de sa dépouille mortelle était
annoncée à Brazzaville pour le 25 mai à 17h40. Sur le
coup, j’arrêtais ma décision : je traverserai le fleuve
Congo. J’arriverai à Brazzaville dans l’après-midi du 25
mai pour accueillir son corps. Mes premières pensées
fusaient sur Henriette. La veuve subite, la femme laissée par Antoine.
Je consolerai Henriette. J’appuierai les
enfants devenus par la force de la nature, orphelins.
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