Au fil des décennies, il avait lu de nombreuses théories qui expliquaient pourquoi une musique triste galvanise l'auditeur. La théorie des anticorps. La théorie du sanctuaire. La boxe dans le vide. La maîtrise par habituation. Mahler lui-même avait exprimé de la pitié à l'égard d'un monde qui devrait un jour écouter ses chants.