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Dans la libération il est vu que tous les phénomènes surgissent simplement dans la conscience, sans personne pour les négocier. Le but, la religion et les chemins du développement spirituel, tout perd sa signification quand on voit qu'il n'y a personne qui fait de choix.
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L'idée fausse la plus commune au sujet de la libération est que c'est quelque chose qu'un individu peut obtenir. Mais la libération est une perte - la perte du sens qu'il y a jamais eu un individu séparé qui puisse choisir de faire quelque chose afin de provoquer la libération. Quand on voit qu'il n'y a aucune séparation, le sens de la vulnérabilité et les craintes qui nous attachent à l'individuel tombent… alors la vie est simplement vécue et la relaxation s'installe. On se sent à l'aise avec ce qui arrive et c'en est fini de vouloir s'approprier quoi que ce soit.
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A cet instant il était vu qu’il n’y a personne. Le sentiment qu’il existait une personne avait jusqu’alors été une constante et donnait tout son sens à cette vie. Pendant tant d’années, cela n’avait jamais été mis en question. Il était tellement évident que c’était « moi », mon centre, mon lieu, que ce n’était même pas perçu. C’était maintenant vu comme quelque chose de complètement superflu. Soudainement il était clair que je n’avais jamais eu de vie, car il n’y avait jamais eu de « je ». En une seconde d’éternité, il était clair que sans un « je », chaque chose était vue, pour la première fois, exactement comme elle est. Je ne vis pas, je suis vécu. Je n’agis pas, mais les actions se passent à travers moi, la marionnette divine.

Toutes les inquiétudes de cette petite et non moins importante vie apparente disparaissaient en un instant.
En une seconde le soi revint et dit : « Diable, mais qu’était-ce donc que cela ? » Mais la fraction de seconde sans personne apporta des changements radicaux au paysage interne. Car cette vision peut faire exploser votre mental.
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Nous prétendons que nous avons perdu la paradis seulement pour la joie de le retrouver à nouveau. Quand le paradis est retrouvé , il est réalisé qu' il n' avait jamais été perdu.
Mais aussi longtemps que nous cherchons le paradis, il est impossible de remarquer qu'il est déjà là.
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Dans l’histoire, une année après l’éveil, je me trouvais dans une boutique d’une petite ville ordinaire. Soudainement mais avec une grande douceur, l’ordinaire fut déplacé par l’extraordinaire. La personne, de nouveau, disparut complètement et il fut clairement vu que la conscience est partout et qu’elle est tout. Le sens d’un soi localisé se révéla n’être qu’une apparence. Il n’y a pas de localisation, ni ici, ni là. Il n’y a que l’Un apparaissant comme tout et c’est ce que «je» suis vraiment. «Je» suis la boutique, les gens, le comptoir, les murs, et l’espace dans lequel tout se présente. Lorsque le soi disparaît et que la conscience est vue en toute chose, alors tout est vu pour ce qu’il est, un magnifique hologramme sous-tendu par l’amour.
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La libération ne peut être décrite en mots. Elle ne peut être comprise par le mental. Elle ne peut être vue, jusqu’à ce qu’elle se révèle. Il n’y a alors aucun mot ou aucune idée qui soit capable de l’exprimer, ni aucun mental capable de l’appréhender.
Pourtant la libération est tout ce qui est. Ici, maintenant.
Paradoxe.
La vision de la libération n’a rien à voir avec le mental. Cependant la libération est ici, maintenant, voilée par le mental. Voilée par un mental qui n’existe pas.
Paradoxe.
La libération est la fin de la recherche et la fin de la notion de sens. La libération révèle le sens de la vie en tant que la vie elle-même. Il ne peut pas y avoir de recherche pour ce qui est vu être déjà présent.
Le langage par sa nature dépeint la dualité : les événements, les expériences, les choses, les pensées, les sentiments, tout ce qui apparaît, tout ce qui se manifeste. Il n’y a pas de langage pour décrire la non-dualité. La seule chose que l’on puisse faire c’est l’évoquer, y faire allusion.
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La libération n’est pas personnelle et n’a rien à voir avec une expérience psychologique, émotionnelle, ou « spirituelle », aussi subtile soit-elle. Une fois qu’il est vu que je ne suis rien, il est aussi vu que toute expérience se produit seulement pour une personne apparente, et retombe ensuite dans l’Un sans que cela n’ait aucun sens. Il n’y a pas de personne réelle pour qui l’expérience apparaît, et aucune possibilité que cette expérience ait une signification.
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La libération ne m’est pas arrivée, et elle ne vous arrivera pas. Pourtant la libération existe. Il n’y a que la libération. La perfection est déjà ici. Ce que vous êtes est déjà divin.
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Lorsque le soi disparaît et que la conscience est vue en toute chose, alors tout est vu pour ce qu’il est, un magnifique hologramme sous-tendu par l’amour.
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L’éveil, c’est voir le vide du néant. La libération, c’est voir la plénitude du néant.
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