Leur vie intérieure si chaotique, désynchronisée. personne n'en savait rien. En entendant alors leurs voix si parfaites, nul n'aurait imaginé la boue, la chaleur, le sang nila sciure. Et encore moins le désespoir, la captivité, la fureur, la confusion. Tout paraissait serein en surface, ordonné, paisible, sous contrôle. En sommeil, encore quelque temps.