D'autre part, Jésus englobe sa mère dans ceux qui ne le suivent pas doctrinalement, nous l'avons vu dans Marc (III - 31/35) et dans Luc (VIII - 19/21) cités ci-dessus.* Mais Jean (VII - 5 ) confirme ce fait : " ... eux non plus ..." Dès lors, comment imaginer que Marie a pu voir et entendre l'Ange Gabriel, croire ce qu'il lui annonçait au point de se mettre immédiatement en route pour aller en Judée voir Elisabeth ..." [sa cousine, enceinte de Jean le Baptiste, naissance également annoncée à Marie par le fameux Ange Gabriel]" ... et, par la suite, ne plus croire en la mission divine de son fils ?

Ce premier recensement eut lieu alors que Quirinus était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville. Joseph, aussi, monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la cité de David appelée Bethléhem, parce qu'il était de la maison et de la lignée de David, avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.
(...) ... Ce dénombrement est un fait réel, historiquement indiscutable, consigné dans l'histoire et dont la date est précise, certaine. Il eut lieu en effet après la déposition d'Archélaüs, fils d'Hérode, roi de Judée, suivi de son exil en Gaule, à Vienne, dans la vallée du Rhône plus précisément. (Cf. Flavius Joseph - Antiquités judaïques - Livres XVII et XVIII)
Ainsi, le Jésus de l'Evangile selon Matthieu a déjà onze ans lorsque naît, dans les mêmes conditions et au même endroit, le Jésus de l'Evangile selon Luc. En un cas comme dans l'autre et eu égard à l'anathème du Concile de Trente, nous aurons toujours tort.

* Saviez-vous pourquoi, à partir de la seconde moitié du Xllle siècle, l'Ordre du Temple imposa à ses nouveaux affiliés le rejet de la croyance en la divinité de Jésus et revint au Dieu Unique ?
* Saviez-vous que les Cathares, bien avant les Templiers, connurent le secret des origines réelles de Jésus de Nazareth, et que ce fut, pour les uns et pour les autres, le principal motif de leur destruction ?
* Saviez-vous que Jésus naquit en réalité en 16 ou 17 avant notre ère, et qu'il fut crucifié par les Romains en, 33 ou 34, âgé d'environ cinquante ans ?
* Saviez-vous qu'il était de lignée davidique et royale, qu'il brigua la royauté d'Israël, et qu'il fut à ce titre, après son père, Juda de Gamala, et son aïeul Ezéchias, le chef de la résistance juive contre les Romains?
* Saviez-vous qu'il fut crucifié la tête en haut, comme il en était alors pour les esclaves rebelles et les malfaiteurs, et non la tête en bas, comme d'usage pour les rebelles politiques ?
Une légende plusieurs fois séculaire du Poitou, nous dépeint Satan descendant sous l'aspect d'une énorme chauve-souris au milieu d'une danse impie, et danseurs et danseuses tombent alors, frappés de mort, les uns après les autres, au seul frôlement des ailes infernales tourbillonnant avec eux. (Cf. Mgr de Montault : La Maldanzée in Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest, 1872, 1er fasc.).
La Foi, si souvent invoquée par le croyant, est, du point de vue de l'historien ou de l'homme de science, un cercle vicieux infranchissable, d'où rien de raisonnable, au sens propre du mot, ne saurait sortir.
Il serait donc vain de supposer un seul instant que la religion juive d'avant notre ère ait été caractérisé par un monothéisme absolu, d'un part, et par une orthodoxie rigoureuse de l'ensemble des fidèles d'autre part.
La règle, disposée sur le Compas et l’Équerre d’un certaine façon, impliquait la connaissance d’éléments de divination et de Magie venus de la Chine, via les Indous, Grecs,… D’où le secret, pour échapper à l’Inquisition et à ses prédécesseurs : dès le IVème siècle, l’empereur Gratien autorise la peine de mort contre les hérétiques : gnostiques, hermétistes, platoniciens, pythagoriciens, etc.
Doté du sous-titre révélateur "ce que l'on nous dissimulait sur la survie de Louis XVII", cet ouvrage tente, non sans arrière pensée très partisane, une étude très complète du dossier de la survivance de Louis XVII.
Dans cette affaire très troublante, il existe bon nombre de certitudes....
(extrait du premier numéro de la revue "Chroniques de l'Histoire" parue en juin 1988)
Nous pouvons donc conclure que le "rayonnement universel" joue, dans le Cosmos, le rôle de l'Ame dans le corps humain, conservatrice et transmutatrice tout à la fois, de la masse substancielle qu'elle administre, gère et conduit vers sa Finalité.
Robert Ambelain , au même titre qu'Éliphas Levi, traitait de la Haute Magie deux points essentiels sont à mentionner : le mage entre en relation avec d'hypothétiques entités en fonction de son niveau personnel d'évolution; par ailleurs tout dépend également du niveau des entités évoquées, sans qu'il soit question ici de celles de l'arbre inversé de la Kabbale.
Rejoignant la position d'Éliphas Levi, il se pose la question de savoir si, dans la plupart des cas, le mage n'évoque pas simplement des éléments en provenance de son propre inconscient. Ainsi la perspective magique dont parle René Guénon, à propos de cet ouvrage, constitue un syncrétisme hâtif.