Mon amour est une rose rouge, rouge,
Au printemps fraîchement éclose.
Mon amour est une mélodie,
Jouée en douce harmonie.
Si belle es-tu ma douce amie,
Et je t'aime tant et tant,
Que je t'aimerai encore, ma mie,
Quand les mers seront des déserts.
Les mers seront des déserts secs, ma mie,
Les roches fondront au soleil,
Et je t'aimerai toujours, ma mie,
Tant que s'écoulera le sable de la vie.
Au revoir pour un temps m'amour,
A te revoir dans peu de temps!
Je reviendrai, mon seul amour,
Même de l'autre bout du monde.
The best-laid schemes o' mice an' men,
Gang aft agley
(The best laid schemes of mice and men,
Go often askew)
(Les plans les mieux conçus des souris et des hommes souvent ne se réalisent pas)
Ah, si quelque Puissance nous accordait le don
De nous voir tels que les autres nous voient !
Cela nous libèrerait de bien des bévues
Et de bien des idées sottes.
Fair fa' your honest, sonsie face,
Great chieftain o' the pudding-race!
Aboon them a' ye tak your place,
Painch, tripe or thairm:
Weel are ye wordy of grace
As lang's my arm
Mon coeur est dans les Highlands
Adieu les Highlands, adieu le Nord,
le berceau de Valor, le pays de Worth;
Partout où j'erre, où que je me déplace,
les collines des Highlands pour toujours j'aime.
Mon cœur est dans les Highlands, mon cœur n'est pas ici;
Mon cœur est dans les Highlands à la poursuite du cerf;
A-chassant le cerf sauvage, et suivant les œufs,
Mon cœur est dans les Highlands partout où je vais.
Adieu les montagnes hautes couvertes de neige;
Adieu les straths et les vallées vertes ci-dessous;
Adieu les forêts et les bois sauvages;
Adieu les torrents et les inondations bruyantes.
Mon cœur est dans les Highlands, mon cœur n'est pas ici;
Mon cœur est dans les Highlands à la poursuite du cerf;
A-chassant le cerf sauvage, et suivant les œufs,
Mon cœur est dans les Highlands partout où je vais.
Oh ! qu'il est heureux et béni, cet homme !
Pas étonnant qu'il soit si fier !
Quand la jeune fille qu'il aime le plus,
Avance parée à ses côtés !
D'un coeur léger, je plaçai une rose
Si douce sur sa tige épineuse !
Et mon faux amant vola ma rose -
Mais, ah ! il m'en laissa les épines.

Composé au printemps
Encore une fois, la nature se réjouissant voit
sa robe prendre ses teintes vernales :
ses mèches feuillues ondulent dans la brise,
toutes fraîchement trempées dans la rosée du matin.
Refrain.-Et maun je suis toujours sur Menie doat,
Et supporte le mépris qui est dans son e'e?
Car c'est du jais, du noir de jais, et c'est comme un faucon,
Et ça ne laissera pas un corps être.
En vain pour moi les primevères rugissent,
En vain pour moi les vi'lets jaillissent ;
En vain pour moi à glen ou shaw,
Le mavis et le lintwhite chantent.
Et maun j'encore, &c.
Le joyeux laboureur acclame son équipe,
Wi' joy le tentie seedsman tiges ;
Mais la vie pour moi est un rêve fatigué,
Un rêve d' un an qui ne s'éveille jamais.
Et maun j'encore, &c.
La foulque dévergondée écume l'eau,
Amang les roseaux crient les canetons,
Le majestueux cygne nage majestueux,
Et tout est bienheureux sauf moi
. Et je reste encore, &c.
Le troupeau de moutons steeks sa gifle fautive ,
Et o'er les landes siffle shill:
Wi ' marche sauvage, inégale, wand'ring,
je le rencontre sur la colline couverte de rosée.
Et quand l'alouette, entre la lumière et l'obscurité,
Blythe se réveilleà côté de la marguerite,
Et monte et chante sur des ailes flottantes , Un ghaist
usé par le malheur que je fais planer. Et maun j'encore, &c. Viens l'hiver, avec ton hurlement de colère, Et faisant rage, courbe l'arbre nu ; Ta tristesse apaisera mon âme triste, Quand la nature tout est triste comme moi !

Une vision
Alors que je me tenais près de cette tour sans toit,
Où la fleur de wa'fleur parfume l'air couvert de rosée,
Où le hurlement pleure dans sa tonnelle de lierre,
Et raconte à la lune de minuit ses soins.
Les vents étaient posés, l' air était calme,
Les étoiles qu'ils projetaient dans le ciel ;
Le renard hurlait sur la colline,
Et la réponse lointaine des vallées résonnantes.
Le ruisseau, le long de son chemin de noisette,
se précipitait par les wa en ruine,
se hâtant de rejoindre le vaste Nith,
tandis que la houle et les fa rugissaient au loin.
Le cauld blae North diffusait
ses lumières, avec un sifflement,vacarme étrange ;
En travers de l' ascenseur , ils commencent et se déplacent,
Comme les faveurs de la Fortune, se teintent comme une victoire.
Par un hasard insouciant, j'ai tourné les yeux,
Et, par le rayon de lune, j'ai été secoué de voir
Un ghaist sévère et vigoureux surgir,
Habillé comme les ménestrels ont l'habitude de l'être.
Si j'avais été une statue de Stane,
Son regard audacieux m'aurait intimidé ;
Et sur son bonnet grav'd était simple,
Le bouquet sacré-"Libertie!"
Et frae ses souches de harpe coulaient,
Pourraient réveiller les Morts endormis pour entendre ;
Mais oh, c'était un conte de malheur,
Comme jamais rencontré l'oreille d'un Britannique !
Il a chanté avec joie son premier jour,
Il, pleurant, a pleuré ses derniers temps;
Mais ce qu'il a dit, ce n'était pas un jeu,
je ne m'aventurerai pas dans mes rimes.
"Le vaste monde est devant nous - mais un monde sans ami."