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Critiques de Robert Escarpit (24)
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Lettre ouverte au diable

Une première lettre ouverte envoyée à Dieu avait apporté à son auteur abondance de réponses.

Il paraissait donc inévitable, question d'équilibre, de rendre la pareille au diable ...

Mr Robert Escarpit y tutoie le diable, se permettant même de l'appeler mon ami.

Ce qui paraît tout de même suspect !

C'est que Mr Escarpit ne semble croire ni à dieu, ni à diable.

Mais tout de même se paie ici le luxe de s'en moquer.

Le diable, nous dit Robert Escarpit, entre petits calculs et grands desseins dégonflés, est aussi mauvais lecteur qu'écrivain.

Mais qui est-il vraiment pour avoir réussi à passer avec l'humanité toute entière un véritable marché de dupes ?

La société aurait été bâtie pour assouvir ses desseins ?

Il aurait inventé le capitalisme ?

Tout ce qui vacille, qui tremble, tomberait-il dans son sac ?

Entre érudition et humour, cette lettre ouverte est pleine de références à Bernard Shaw, Goethe, Anatole France, à Bergson, Swift, Descartes, Kipling et quelques autres grandes plumes de la littérature.

Mais, je soupçonne Mr Escarpit d'avoir écrit cette lettre à l'intention de ses frères humains plutôt qu'à un diable dont il semble ricaner.

C'est que l'humanité, pour Robert Escarpit, est plus attachée au diable qu'à dieu.

"Lettre ouverte au diable" est un essai brillant, intelligent.

Le ton est léger, mais le propos est plus puissant qu'il n'y paraît, quelque peu subversif même.

Il faut rendre à César ce qui est à César.

Et, Robert Escarpit fait ici la part de ce qui appartient au diable dans l'histoire récente de France : la troisième république et Thiers son sinistre pantin , le colonialisme, mai 68 où rien n'a vraiment fini puisque rien n'avait vraiment commencé ...

De digressions en transgressions, Robert Escarpit aborde la vieille maladie des universités, le racisme anti-jeune et son frère jumeau anti-vieux, l'enfance, l'adolescence, et la paresse ...

Merci Mr Escarpit pour ces quelques lignes sur la paresse du mauvais élève qui lit.

Car le diable ici se cache dans les détails.

Il n'est pas toujours tapi là où on l'attend.

La lecture de cet essai est un véritable plaisir, un plaisir toujours d'actualité, un plaisir dont on extrait réflexion, intelligence et sourire ...









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Les contes de la Saint-Glinglin

Avec beaucoup d'esprit voici des expressions courantes dont Monsieur Robert Ecarpit nous conte, avec délice, les origines qu'il a imaginées.



Il serait trop long de vous détailler chacune de ces histoires savoureuses.

Mais en voici un bref aperçu de mon cru.



Juste un conseil, à la Saint Glinglin, allez Tout de Go avec une voix de Stantor déclamer à la Cantonade les règles du jeu de Tire l'Harigot.



Passez par l'auberge "A la Bonne Franquette" entre le Zist et le Zest, et ne prenez pas la Poudre d'Escampette si vous rencontrez Tartempion.



Mais allez courir le Guilledou et faire des Galipettes avec la jolie Marinette.



En remerciements de ces quelques mots, cueillez-moi la Fleur de Prétentaine, bien que l'on m'ai dit quelle a disparue depuis Belle Lurette.
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Les va-nu-pieds superbes

Ce roman, selon le terme de l’auteur, sur les FFI de la Poche du Médoc, a été écrit en 1945, donc à chaud, et a été publié et réédité dans son intégralité sans coupe dans le texte qui aurait pu le rendre politiquement correct.



Appelée la plus importante bataille d’Aquitaine, la bataille de la Pointe du Médoc n’a semble-t-il pas bénéficiée du même traitement historique mais a été englobée dans celle de Royan et La Rochelle ! J’ai réussi à trouver un extrait de film sur le site de l’INA, un article belge (!?!) et un livre qui lui est consacré, dont un extrait de la 4ème de couverture suit :



“Les troupes FFI (AS, FTP, ORA) du colonel Jean de Milleret, venues de tout le Sud-Ouest, ont tenu en respect un ennemi qui disposait d'un matériel de guerre important. Elles l'ont fait dans des conditions très défavorables. Les relèves étaient rares et les unités françaises, pauvrement équipées, sont restées en ligne plusieurs mois de suite. Finalement, les troupes FFI de la brigade Carnot, appuyées par la marine et l'aviation, ont enlevé de haute lutte la puissante poche du Médoc, après plusieurs mois de siège (septembre 1944-mars 1945) et une terrible bataille (avril 1945).”

La Poche du Medoc 1944 – 1945 livre de Dominique Lormier chez Geste Editions 2016



Ce livre parle des FFI (Force françaises de l’intérieur) des quelques mois passés à faire le siège du Médoc, avec peu d’armes, pas d’équipements, habillés de bric et de broc, pas de relève et méprisés par une bonne partie de la population déjà libérée, anciens résistants et volontaires pour libérer leur région !



En lisant on a l’impression que les choses étaient simples, l’auteur raconte le quotidien, les rapports humains, leur attente de renforts et de reconnaissance dont seul De Gaulle fera preuve ; de l’humour aussi, de l’entraide et la camaraderie.



Ces volontaires ont fait preuve d’un mental inimaginable pour nous maintenant, quitter leur ville ou village libéré, leur famille pour aller combattre là où l’armée n’était pas ! Au fur et à mesure de ma lecture et des quelques infos que j’ai réussi à glaner j’étais admirative de ces hommes jusqu’au-boutistes et dans l’abnégation.



Quelques passages me sont restés obscures et ce livre ne se lit pas pour sa rédaction pas toujours claire, il est “brut de décoffrage” mais c’est ça aussi qui lui donne toute sa puissance et sa vérité !



Challenge MULTI-DEFIS 2021

Masse Critique février 2021



https://www.libertyship.be/news/la-poche-du-medoc/
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Appelez-moi Thérèse

Entreprendre la lecture de cet ouvrage avant d'avoir, au préalable, lu Thérèse Desqueyroux de François Mauriac, ce serait vous priver d'une grande partie de la compréhension de ce roman.

Robert Escarpit rend hommage au classique bien connu en faisant quasiment un fac-similé dans une période plus moderne.

Entendons-nous bien. Robert Escarpit fait "à la manière de" sans avoir l'ambition de réaliser un roman comparable à celui de François Mauriac ni de la même valeur.

Le sien est toutefois une belle réussite dans cet exercice périlleux. Il était à craindre que le souvenir du roman de Mauriac en affadisse la lecture. Il n'en fut rien. Une nouvelle fois j'ai parcouru le Bazadais avec délice, faisant parfois une halte à l'ombre des grands pins maritimes pour respirer l'odeur de térébenthine en rêvant.
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Les contes de la Saint-Glinglin

Ou comment expliquer aux plus jeunes (et aux grands s'ils ont un peu de fantaisie dans le coeur) l'origine (totalement fantaisiste) d'expressions littéraires de la langue française.



Recueil de mini contes que l'on pourrait presque qualifier de fabulettes, ce livre a un irrésistible parfum d'enfance et de fraîcheur.
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Les va-nu-pieds superbes

J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse Critique non fiction", de février 2021, organisée par Babelio.

Merci à Babelio et aux Editions Cairn pour cet envoi.J'avais coché ce livre comme 9 autres parmi la centaine proposée, attirée par le titre évoquant le Médoc, au nord de la Gironde, et pour l'auteur, universitaire et journaliste Girondin. C'est une chronique, comme l'indique le sous-titre de la guerre du Médoc, une sorte de journal écrit par le lieutenant Escarpit, en 1945. Le personnage principal est le lieutenant Cardière, du bataillon d'Arcachon (sans doute Escarpit). Il est envoyé avec son bataillon et d'autres pour délivrer le Médoc, à la pointe de l'estuaire de la Gironde, et déloger les soldats allemands. C'est l'automne puis l'hiver 1944, il fait froid et ces combattants (soldats mais aussi résistants et volontaires) manquent de tout : vêtements, chaussures, couvertures, nourriture et armes, face à des ennemis beaucoup mieux équipés. Ils se débrouillent comme ils peuvent. Ces groupes FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) étaient tellement pauvres en équipement militaire et habillés de bric et de broc qu'ils étaient surnommés Les va nus pieds Superbes.

Je ne connaissais pas cette page de l'histoire de France, ces derniers combats larvés, à moins de 100 km de Bordeaux.

J'ai apprécié ce témoignage sur leurs conditions de vie, leur courage mais je me suis perdue entre les différents bataillons, les lieux-dits cités, les grades des différents soldats, les armes citées inconnues pour moi.

A la page 145 j'ai arrêté, pas assez passionnée par ces combats d'arrière-garde et ces personnages et lieux multiples.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..
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Les contes de la Saint-Glinglin

Il est parfois bien agréable de se replonger dans ses souvenirs d'enfance.

Je me souviens de l'ancienne couverture et du plaisir que j'avais eu à lire ces contes fantaisistes. Je me souviens que j'avais emprunté ce livre à la bibliothèque de l'école primaire.

Quel bonheur alors de relire ces contes et de me remémorer tout cela, surtout que c'est mon premier vrai souvenir de lectrice.



J'ai donc retrouvé tous les personnages (Glinglin, Franquette, Lurette...) et les explications farfelues de Robert Escarpit. Moi qui, en tant qu'adulte, aime connaître la réalité des choses, j'ai savouré ces versions fantaisistes, pleines d'imagination.



Malheureusement, ce sont des expressions qui tombent peu à peu en désuétude. Mais, les contes en eux-mêmes sont toujours un régal de lecture, et peuvent donner envie de sortir ces expressions du placard. Je crois que ça va être mon nouveau jeu.



J'en conseille donc la lecture aux adultes, qui connaissent ces expressions et ont conservé leur âme d'enfant, ainsi qu'aux enfants à qui il faudra sans doute expliquer la réalité des expressions, car sinon ils manqueront une partie de la magie de ces contes.
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Les contes de la Saint-Glinglin

Je me souviens avoir lu ces contes au collège et découvert avec un plaisir immense l'écriture d'Escarpit qui joue avec les mots et leur donne vie de façon tendre et espiègle.
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guide anglais

Conseillé, dans les années 1960, à tous les lycéens anglicistes, ce guide anglais, cher au coeur des sexagénaires et plus, présente de multiples prétentions, non seulement vous apprendre le vocabulaire, la grammaire et la syntaxe anglaise, mais vous apprendre à "faire anglais".

D'ailleurs son titre anglais, "meet Britain", car "le guide anglais" de Escarpit et Dulck, a été traduit en anglais, c'est dire !, répond à cette ambition !

L'apprentissage des règles se fait par le biais d'expressions idiomatiques, de recettes de pâtisseries et de plats anglais (si, si il en existe de très bons), de description de règles et de coutumes anglaises, tombées en désuétude aujourd'hui, pourquoi les gardes de Windsor ont-ils des bonnets à poil, pourquoi les écossais portent-ils un kilt,

Vous connaitrez et chanterez à la perfection, cette chanson populaire du Yorkshire,"On Ilkla Moor bar tat" en anglais standard : "On Ilkley Moor without your hat", ce qui vous donnera un accent de véritable farmer de York, à faire frémir vos amis anglais, si vous en aviez....

Dans les dernières éditions du guide on apprend que "not half bad" signifie "du tonnerre !", et que en déchiffrant les sous titres du flm de Woody Allen ANNIE hall, on sait tout de l'inversion positif négatif entre le français et l'anglais.

Ainsi, "over sleep" en anglais se traduit par "il ou elle ne s'est pas réveillé(e)"

Depuis son achat en 1966, j'ai toujours conservé religieusement ce petit guide, le trahissant seulement pour une plus récente édition chez Hatier.

Mais je mettrai à ce guide, sans ambages, c'est évident, "un mérite le détour"

Qu'on se le dise !






Lien : http://desecrits.blog.lemond..
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Les contes de la Saint-Glinglin

Si Les contes de la Saint-Glinglin sont présentés comme susceptibles de faire rire les jeunes lecteurs, ils n'en sont pas moins porteurs d'une certaine mélancolie. Les protagonistes sont attachants parce qu'ils sont exclus, rejetés, moqués, frappés par le malheur : on a envie de les voir s'en sortir. Or les histoires de Robert Escarpit ne nous apportent pas toujours satisfaction sur ce plan-là. Elles n'en demeurent pas moins addictives, tant l'imagination de l'auteur a craché des pépites aux quatre coins des pages, au point de pousser le lecteur à se dire "il fallait y penser !" après chaque dénouement.
Lien : http://pulco-suivezlepapillo..
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Les contes de la Saint-Glinglin

C'est peut-être le premier livre à avoir marqué ma vie de lectrice. Je crois que jamais je n'écrirai "il y a belle Lurette" sans y mettre une majuscule, et que pas une seule des expressions de ce livre n'a le même sens pour moi que pour les autres :)
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guide anglais

Follement vieillot, ce livre agréable permet de comprendre



a/ comment l’Angleterre se présentait il y a 50 ans,



b/ quelle idée les français un peu cultivés avaient de ce pays il y a 50 ans - toute une génération a lu ce livre.



C'est un complément nécessaire pour qui regarde aujourd'hui et veut savoir d'où sortent Dr. Who ou Sherlock... ou qui veut comprendre les Carnets du Major Thompson (Daninos) ou les Silences du Colonel Bramble (Maurois), des livres cultes sur l'amitié franco-anglaise, ou encore Three Men in a Boat (3 hommes dans un bateau) de Jérome K Jérome, livre culte sur l'humour anglais.
Lien : http://brikbrakbrok.blogspot..
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L'enfant qui venait de l'espace





Suzan est l'un des personnages du célébre auteur de science fiction Isaac Asimov.

C'est meme son heroine préférée.

Il l'a conçut seduisante, mais obssedée par son métier de specialiste des robots .

Et voilà qu'un beau matin de 2010 , l'auteur rencontre sa créature, vivante entre une cuisiniére rafistolée et une étrange plante verte qu'elle a baptisé Robbie.

Rien de ce qu'avait écrit Asimov n'est arrivé.

Si l'héroine de science fiction prend en main son destin et pourtant, l'histoire de la belle Suzan resemble à un fameux roman, bourré de rebondissements.





Mon avis



Ce livre est rigolo et il est simple à lire
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Les contes de la Saint-Glinglin

Recueil de contes à destination des plus jeunes, ce livre explique de façon souvent humoristique de nombreuses expressions de tous les jours. Nostalgie, on se prend vite au jeu, même si on a paraît-il "passé l'âge".



C'est écrit simplement et accessible rapidement au plus jeune. C'est illustré (suivant l'édition) pour le plus grand plaisir des yeux.

On se sent retomber en enfance avec mélancolie en lisant cette succession de petits textes parfois loufoques, mais toujours soignés.
Lien : http://nitquindo.wix.com/nit..
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Les contes de la Saint-Glinglin

Ce livre raconte en plusieurs petites histoires, comment certaines expressions telles que "a tire l'harigot" ou "y a de tout à gogo" nous viennent. Bien sûr, ce ne sont que des inventions remplis d'humour, de tendresse et ce sont des merveilleux petits contes vraiment original. On ne s'en lasse pas, on à hâte de savoir à chaque histoire qu'est ce que l'auteur va bien pouvoir nous inventer pour expliquer une expression, et on rit et on dévore ce livre en quelques instants. Personnellement, mes histoires préférés sont celle de la chèvre qui mange le poème et celles de l'expression "faire tout de go" et "y aller à tire l'harigot", parce que je les aient vraiment trouver belles (j'ai aussi adoré celle du catamini, qui était vraiment bien trouvé) Ce livre est un régal avec en plus un style d'écriture qui va vraiment bien avec le livre. J'adore, et je conseille aux petits et aux grands.
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Contes et légendes du Mexique : Par Robert Es..

Plusieurs histoires qui font rapidement le tour des fondations de la mythologie du Mexique, faciles à lire.

Une bonne première approche.
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Les contes de la Saint-Glinglin

J'adore toutes les références aux expressions dans la langue française nommées dans le livre. Les histoires sont vraiment intéressantes, je remercie la personne qui m'a conseillé ce livre. Je me suis régalé.
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Contes et légendes du Mexique : Par Robert Es..

J'ai rarement eu l'occasion de lire un livre de contes aussi varié, qui me semblait autant capturer l'esprit d'un pays. Cela commence avec des légendes Aztèques et Toltèques, puis on trouve des histoires d'animaux, des légendes chrétiennes, des histoires de fantômes, des légendes historiques, comiques ou tragiques, sur les résistances contre différents envahisseurs, et quelques contes qui mélangent un peu toutes ces influences, se souciant peu d'être anciens et libres d'influences occidentales, plus d'être populaires et sincères.

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Paramémoires d'un gaulois

Robert Escarpit était il y a une soixantaine d'années un contributeur habituel du Monde, dans lequel il publiait un acerbe petit billet quotidien en Une. Ce petit livre se lisait très facilement et avec un grand plaisir. Un esprit affûté, très informé, un peu caustique.
Lien : https://www.edilivre.com/app..
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Le secret du pilfastron

François Avril est né en 1961 à Paris. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art, il débute sa carrière en tant qu’illustrateur et travaille pour la presse, la publicité et l’édition. Seul ou en collaboration, il réalise de nombreux livres pour enfants, ainsi que quelques bandes dessinées parmi lesquelles Soirs de Paris et Le Chemin des Trois Places. Contrairement à d’autres confrères, il refuse de baliser son art et n’a de cesse de chercher de nouvelles manières d’expressions graphiques. Il construit un univers immédiatement identifiable et en perpétuelle évolu-tion, qu’il explore au gré de son inspiration. Quant à ses techniques, il pratique l’acrylique aussi bien que l’encre de chine, la mine de plomb ou encore les crayons de couleurs. Il apprivoise également différents supports. Aussi à l’aise sur papier que sur des toiles de grandes dimensions, son travail au trait pur, délicat et élégant, flirte parfois avec l’abstraction. Au gré de ses observations, il propose une utopie de villes et de paysage. A travers le filtre de sa mémoire, ses œuvres révèlent des lieux imaginaires ou rêvés. Jamais il ne cherche la représentation du réel, mais l’essence de ce qui la compose.
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