Puisque le ciel cruel encontre moy s'obstine,
Puisque tous les malheurs de la ronde machine
Conspirent contre moy : que les hommes, les Dieux,
L'air, la terre, et la mer me sont injurieux,
Et que ma Royne mesme en qui je soulois vivre,
Idole de mon coeur, s'est mise à me poursuivre,
Il me convient mourir.