Robert Lawrence Stine

Si sa couverture me parle, je ne me souviens plus si "Dangereuses photos" fait partie des "Chair de poule" que j'ai eu l'occasion de lire plus jeune. Sur le papier en tout cas, même si l'histoire semblait assez classique pour cette collection, je pensais avant ma lecture qu'il y avait de quoi s'amuser.



Et ce fut le cas. Il n'y a pas de grandes surprises mais ce troisième tome (dans les éditions françaises) fait ce que l'on attends de lui. Comme toujours, il faut bien prendre en compte qu'il s'agit d'un livre destiné à la jeunesse. L'épouvante y est donc ici assez légère malgré quelques passages qui peuvent paraitre marquant.



Certains événement dramatique qui se produisent font leurs effets dans mon imaginaire. Le coup de la tête avec l'angle bizarre d'Arthur ou le passage avec la voiture du père d'Alex peuvent sembler morbide pour les plus jeunes. La description de l'Araignée fait aussi parti des passages que j'ai bien aimé et qui contribue à l'esprit "train fantôme" que je recherche dans cette série.



Maintenant, même légère, l'intrigue générale manque un peu de carrure je trouve. J'ai eu la sensation de lire juste une grosse scène dans un court laps de temps. Certaines choses auraient pu être davantage développé. Mais bon, j'en ai quand même fait mon affaire même si je suis toujours incapable de dire si j'avait déjà lu cette histoire ou non. Par contre, je préfère largement le titre original que je trouve plus fun que le titre français.



Le style de R.L. Stine reste le même. Ca se lit très vite, on est direct dans le vif du sujet sans jamais être perdu et associé à de nombreux chapitres très court, cette série continue d'être à mes yeux une bonne initiation à la lecture pour les plus jeunes qui voudrons se laisser prendre au jeu de cette attraction.
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Les romans "chair de poule" ont bercés mon enfance, c'est donc ici une re découverte tome par tome.

Ce sont des romans d'épouvante pour les 9-10 ans écrit par le célèbre R.L Stine.

Dans cette histoire, nous suivons les aventures d'une jeune fille du nom de Samantha Piaf qui souffre de sa grand taille pour son âge. En effet d'autres enfants s'en servent pour se moquer d'elle.. Parmis ces enfant, il y a Judith, personnage décrit comme le bourreau de Samantha.. Mais bien sur nous sommes dans une histoire raconté par R.L Stine donc un peu de mystère et d'épouvante vont venir se glisser la dedans..

Cette histoire m'a fait penser au dicton "l'arroseur arrosé" puisque Samantha va pouvoir faire 3 vœux même 4 exceptionnellement, mais tous ces vœux n'auront pas l'effet escomptés.



Toujours une bonne lecture de chair de poule. Une saga épouvante de 9 à 99 ans.

Les romans "chair de poule" ont bercé mon enfance, c'est donc ici une re découverte tome par tome.

Ce sont des romans d'épouvante pour les 9-10 ans écrit par le célèbre R.L Stine.

Dans ce tome, nous accompagnons Marc et son invité de la cave.. Je ne spoile pas plus.

Petite pépite qu'on penserai innoncente mais loin de la. le passage ou Gwendoline se transforme en un gros "chewing gum" rose alors que finalement ce n'est pas du chewing gum mais simplement ces entrailles et tous ces organes qui ressortent d'elle. Rien de plus terrifiant que de s'imaginer ce passage dans les moindres détails.



Je recommande ce roman de R.L Stine ainsi que toute la saga chair de poule au petits lecteurs comme aux grands.

Je continue ma relecture de la saga littéraire « Chair de poule » avec le numéro 2 dans les éditions françaises (c’est le septième de la série aux États-Unis) à savoir « La nuit des pantins ». Celui-ci fait parti de ceux que j’avais lu gamin et j’en gardais un bon souvenir.

Des années plus tard, je le trouve toujours aussi efficace. Bien sûr, niveau horreur, on s’adresse à un jeune public mais si certains tomes peuvent se découvrir (à mes yeux en tout cas) avant les dix ans préconisés (comme « La malédiction de la momie » que j’ai relu il y a peu), pour cette histoire de pantins, je trouve que ce n’est pas plus mal de ne pas le faire découvrir trop jeunes à nos chers bambins.

C’est sans doute l’effet poupée possédée qui a toujours eu un petit côté angoissant mais cette intrigue de R.L. Stine fait parti à mes yeux de celle où l’épouvante pour les plus jeunes est la plus présente. Si il n’est pas étonnant de voir que la série a surfé un peu sur ce récit, il n’est pas surprenant non plus que cet épisode n’ait jamais été adapté pour la série télévisé car même gentillet, on y retrouve quand même certains codes qui ont toute leur place dans des classiques du cinéma d’horreur.

Passé ce détail, j’ai trouvé cette histoire plaisante. J’ai bien aimé la façon dont R.L. Stine sème le doute au lecteur. Est-ce Lucy qui perd la boule ? Caro qui fait une mauvaise blague ? Le terrifiant Monsieur Wood vie t-il réellement tel un Chucky ? Pendant un long moment l’auteur s’amuse à pousser des portes et à nous emmener dans différentes directions faisant en sorte que la tension reste constante et le rythme soutenu. Bref, pour ma part, « La nuit des pantins » est un excellent tome pour la série « Chair de poule » et prouve qu’il peut y avoir de très bon texte pour la jeunesse même dans le domaine de l’épouvante.

Idéal pour la période d’Halloween, ce livre regroupe vingt histoires à faire froid dans le dos.



Ce livre est tout bonnement magnifique ! La couverture est cartonnée et l’impression bleue foncée sur noir donne de suite l’ambiance sombre. La tranche est bleue également donnant de l’élégance, sans oublier le ruban marque-page bleu également. Il trouvera une place de choix dans vos bibliothèques.

Je ne connais aucun des auteurs regroupés dans ce livre. Pourtant je lis pas mal de jeunesse, mais visiblement pas assez au vu du nombres d’auteurs anglophones.

Les histoires sont destinées à un publique plutôt jeune, je dirais une douzaine d’année. Et j’ai parfois trouver les histoires un peu simplistes. Et là aussi, j’ai ressenti la même frustration que lorsque je lis des nouvelles : c’est trop peu et cela va trop vite. Surtout quand une histoire me plait. Mais c’est le principe d’une nouvelle : ne faire que quelques dizaines de pages et nous faire voyager tout de même.



Ce livre rempli parfaitement son office de livre pour la jeunesse qui faire peur, frissonner, dresser les petits cheveux sur la nuque, fait regarder sous le lit avant d’éteindre, mais qu’on n’arrive pas à reposer et qu’on lit sous la couverture avec une lampe de poche.
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Quel bonheur de retrouver la saga de mon enfance ! Cela me rappelle mes premiers frissons d'horreur.



Dans cette histoire, Cory doit faire face à l'étrange Anna, dont il s'est épris. Mais elle disparaît sans cesse, cachant un trouble secret...



Ici, pas de monstre. Mais plutôt une tension psychologique entre Anna et Cory. Je ne suis pas réellement surprise par le dénouement. R.L stine m'a habitué à plus d'horreur.



Même si j'ai apprécié l'enchaînement de l'histoire, il me manque cette petite dose d'adrénaline. Qu'on retrouve seulement vers la fin du livre.

Ceci dit, j'ai quand même hâte de lire la suite. Cela m'a même donné l'envie de retrouver les anciennes éditions.

Quand j’étais môme, j’ai enjoy quasiment la série en entière, ce tome 36 est celui qui m’a le plus marqué, j’ai eu envie de le relire environ 15 ans plus tard, juste pour voir…



Ce monstre poilu au long cou, m’a longtemps terrifié ! Pour mes 28 ans, je voulais aller pique-niquer en forêt. Cabane et chamallow, plus lecture de Chair de poule (en particulier ce « jeux de monstre »). Hélas, ça n’a pas eu lieu.



R.L. Stine écrit très bien, rien à redire! La traduction est bonne aussi!;-), tout est mené tambour battant.



Ce livre s’adresse – dans l’idéal – aux 10 à 12 ans (l’âge de Joanna, personnage principal) mais pas seulement! Il est intéressant à lire pour n’importe quelle tranche d’âge! Mais les « vieux » comme moi le trouveront un peu court…



Le début était mieux que le milieu ;-).



C’est l’histoire de Joanna, Jack et Pat, ses frères jumeaux, qui doivent faire un genre de chat perché hyper compliqué avec des monstres qui portent les noms de Fleg (celui qui me faisait peur!), Spork, Gleeb…



Les règles sont compréhensibles que par l’un des camps, judicieuse métaphore de l’enfance et des règles de la vie encore inconnues.



« Il a touché le rocher, ça mérite une punition ! C’est la règle. »



« Mais on ne les connait pas, vos règles ! C’est injuste ! »



Bonne chose, le roman n’est « pas interminable »…

Voir un peu court, même !



Qu’est ce que ça m’a fait penser aux jeux de Perceval dans Kaamelott!



Finalement, sans vous spolier, je vous dirais que la fin est bien trouvée ;-).



Charlyy & Soren Phoenix;
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R.L Stine est sans aucun doute l’auteur que j’ai le plus lu quand j’avais 9-12 ans. J’adorai la série Chair de poule et je pense que j’en ai lu une très très grande quantité même si aujourd’hui je ne me souviens que des frissons d’horreur que ces petites lectures me procuraient. La série Fear Street est clairement dans la même veine, elle s’adresse aussi à un public un tout petit peu plus âgé. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’une nouvelle série lorsque je l’ai vu dans le catalogue de chez PKJ, mais en fait c’est tout l’inverse, la série a été publiée en 1989, quelques années avant Chair de poule et bénéficie d’une traduction et publication en France en 2021 du fait d’une adaptation par Netflix en trois films !



De fait, Fear Street, on ne va pas se mentir, fait son âge. Ainsi, l’ambiance parait un peu rétro au départ puisqu’il est question de cassettes, walkman et téléphone filaire ! Dans La Disparue, premier tome de la série, on va retrouver les éléments qui ont fait le succès de l’auteur auprès des jeunes dans le domaine du roman jeunesse d’horreur : une jeune fille énigmatique, un héros fasciné ( sinon obnubilé) par cette dernière, des personnages secondaires inquiétants, une rue angoissante et des événements étranges qui sèment le doute entre réalité et fantastique…



J’ai lu facilement La Disparue car comme beaucoup de romans publiés pour la jeunesse à cette époque, on cherchait surtout l’efficacité. Les chapitres s’enchaînent vite, l’histoire est rythmée et l’écriture très accessible. Dans le fond, cela ne casse pas non plus des briques. Les personnages sont assez vite présentés, peu personnalisés et ils servent en priorité pour actionner le récit. On s’est habitué à un peu plus de profondeur aujourd’hui en littérature jeunesse mais cela fonctionne quand même très bien.



J’ai trouvé l’atmosphère de La Disparue assez angoissante et le roman tient donc ses promesses. En effet, le mystère Anna nous tient en haleine tout au long des 230 courtes pages de ce livre. On se pose pas mal de questions au fil de la lecture et cela maintient le suspense : Anna existe t-elle vraiment ? Quelle est son histoire ? Pourquoi son comportement est-il aussi étrange? Pourquoi certains affirment qu’elle est morte alors qu’elle est belle et bien vivante aux yeux d’autres ? Pourquoi Cory est-il a se point fasciné par la jeune fille ? Quel est donc le fin mot de toute cette histoire ? Le doute et ces différentes interrogations nous donnent envie de poursuivre notre lecture jusqu’à la révélation finale, des plus étonnante !
Lien : https://www.lirado.fr/fear-s..

On est dans la même lignée que le premier tome avec de nouveaux personnages et j'ai préféré celui-ci.



L'intrigue est mieux faite et la fin plus surprenante tout comme les personnages sont plus intéressants.



Un livre qui se lit vite et qui permet de passer un bon moment.

J'ai bien aimé retrouvé l'auteur des chairs de poule que je lisais pendant mon enfance dans cette série young adult ça y ressemble on a ce côté thriller avec des cotés horrifique qui m'ont bien plus mais après ça reste assez vague en terme de développement au vu du nombre de page de chaque tome.



J'avais l'impression de retrouver les films à l'américaine en terme de thriller et bien que ce soit pour les adolescents ça reste quand même réaliste et ça se lit rapidement.



L'intrigue du tome se termine à la fin car après on suit d'autres personnages de fear street dans les autres tomes une bonne lecture qui m'a changé de mes lectures habituelles.

Les "Chair de poule" ont toujours beaucoup de succès auprès des "petits" lecteurs: les chapitres courts et le récit rythmé rendent la lecture facile. On cerne vite les personnages: Mickey est un garçon plutôt discret et sensible, tandis que son amie Amanda donne une impression plutôt désagréable car elle se montre souvent agressive ("Tu ne pourrais pas arrêter un peu de me pousser?") voire insultante (elle le surnomme "Face de moule", "Tête de pruneau" ou encore "Cerveau de tomate"...). Quand la situation se fait stressante pour Mickey, Amanda ne fait aucun effort d'empathie ("Tout ce que je t'ai raconté, je ne l'ai pas inventé. C'est bien réel.").



Pourtant Bella 2, la chatte récupérée au magasin quand la première s'est fait écraser, a une attitude étrange et de plus en plus inquiétante: "Elle est parfois douce et calme, et l'instant d'après elle se déchaîne". Certaines scènes sont efficaces, je pense, pour les jeunes lecteurs (l'accident, au magasin, dans la chambre...). L'horreur atteint son paroxysme lorsque Mickey commence à entendre des miaulements que lui seul perçoit et qu'il se fait agresser par des chats fantômes que lui seul voit. Rien de très impressionnant pour des adultes mais ces "animaux spéciaux" créent un certain malaise et l'on comprend que le héros ait l'impression de devenir "dingue".



Si j'ai été agréablement surprise par les révélations finales des propriétaires de Bella sur le fameux "Paradis des chats", lieu bien plus maléfique qu'il n'y paraît, je trouve toujours un peu dommage que tout se finisse bien dans ce genre de roman: il aurait été bien plus angoissant que Mickey reste hanté par les chats morts...
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Relecture de ce roman que j'ai lu il y a quelques années j'en garde un meilleur souvenir avec plus de suspense.

C'est l'histoire d'un garçon et de ses parents qui vont au Caire pour affaires mais ses parents doivent partir et c'est l'oncle qui les garde lui et sa cousine. Ils vont dans la grande pyramide et c'est là que commence l'histoire ,ils finissent par rencontrer des momies.

finalement chair de poule reste uniquement le nom de la collection pas de quoi faire frissonner de peur le lecteur.

Je recommande pour les 7 -13 ans.

Mon avis lecture : cette fois-ci, nous avons affaire à de nouveaux protagonistes qui nous étaient inconnus jusqu’ici. Ces jeunes personnes font partie d’un club sur la nature au lycée de Shadyside. Une excursion sur l’île de Fear Island est prévue, mais rien ne va se dérouler comme l’avait prévu Della. Suite à cette nuit d’épouvante s'ensuit une histoire qui lui donne froid dans le dos. L’angoisse tisse sa toile tout du long tandis que Della se démène pour trouver des réponses à ses interrogations. Est-il possible que cette île soit maléfique ou ces adolescents se sont-ils retrouvés au mauvais endroit au piètre moment ? Une nouvelle fois l’auteur jongle parfaitement avec notre esprit en faisant en sorte qu’il devienne impossible de lâcher ce livre avant d’en avoir terminé avec lui. Je viens de finir les trois premiers tomes de cette série littéraire qui a été adaptée en films sur la plateforme Netflix. J’ai très envie de continuer afin de découvrir les autres tomes, même si les films sont bien différents. En conclusion, je me suis aperçue que j’apprécie autant l’écrit que l’adaptation à l’écran justement pour leurs différences, car cela nous permet d’avoir plusieurs aperçus et angles divers sur cette rue énigmatique ainsi que les habitants qui l’entourent. 



L’avez-vous lu ? Vous fait-il envie ? Qu’en avez-vous pensé, pour celles et ceux qui l’ont déjà dévoré ? Je vous dis à bientôt.

Mon avis lecture : dans ce second livre, nous découvrons l’histoire d’une autre adolescente de Shadyside tout en retrouvant par moments les protagonistes du précédent tome. Je trouve que le titre de celui-ci sonne plutôt bien puisque notre héroïne va réellement vivre une nuit fatale entre guillemets. Le ton du récit est toujours aussi fluide et addictif, l’auteur mène sa plume avec brio pour nous embrouiller l’esprit tout en finesse. La peur nous tenaille, les pistes se multiplient et nous avons envie d’aller jusqu’au bout sachant que tout le monde devient au fur et à mesure le méchant de l’histoire dans notre tête. Même s’il n’y a pas véritablement de surnaturel comme dans les films, l’oppression est bien présente dans ce livre. Le frisson est là également et j’ai passé un agréable moment lecture. Même si c’est une histoire relativement courte, je ne la trouve pas pour autant survoler ni ennuyeuse. Cela me fait plaisir de retrouver ce genre de lecture !

L’avez-vous lu ? Vous fait-il envie ? Qu’en avez-vous pensé, pour celles et ceux qui l’ont déjà dévoré ? Je vous dis à bientôt.

j'adore les romans de R.L Stine qui sont toute ma jeunesse !!! j'ai pas encore regarder la série Netflix j'ai préférer lire les livres avant et avec nuit fatale, on plonge dans le suspens, les rebondissements et je doit dire que la fin ma un peu laisser sur les fesses je m'y attendais pas du tout

je part donc maintenant a la découverte du tome 3

Mon avis lecture : je ne vais pas vous cacher la raison qui m’a conduit à lire cette série de livres. En premier lieu, j’avais visionné sur Netflix la trilogie des films « Fear Street » autrement dit « la rue qui fait peur » ! J’ai tout bonnement adoré l’histoire donc c’est tout naturellement qu’avec mon chéri nous sommes allés fouiner pour savoir si des livres existaient. Qu’elle ne fût pas notre surprise en découvrant que c’était du même auteur que la célèbre série « chair de poule » qui nous avait tant fait frissonner quand nous étions enfants ! C’est alors sans hésitation que mon chéri m’a pris les trois premiers tomes afin que je puisse savourer l’origine qui a donné vie aux films. De ce fait, même si dans ce premier volet l’ambiance est bien différente, j’ai aimé quand même le lire. Cependant, j’en attends davantage de la suite, je ne vais pas vous le cacher. Je voulais aussi vous révéler que j’ai adoré les multiples clins d’œil dans les films à la série « Supernatural » par exemple, les chansons et le prénom des deux personnages principaux « Sam et Dean » qui deviennent dans cette trilogie « Samantha et Deanna ». L’avez-vous lu ? Vous fait-il envie ? Qu’en avez-vous pensé, pour celles et ceux qui l’ont déjà dévoré ? Je vous dis à bientôt.

Encore et toujours un bon roman jeunesse de la part du maître de l'épouvante chez les pré adolescents et adolescents , quoique qu'il n'y a pas d'âge pour aimer lire un bon vieux "chair de poule " .

Dans cette histoire nous suivons la mésaventure que vont vivre un frère et une sœur, bobbie et Alexia qui aime faire peur à tout le monde ... mais attention voici l'arroseur arroser puisqu il vont se transformer en des monstrueuse créature sortit tout droit des histoires du grand père

Arrêtons-nous deux minutes sur la beauté de ce livre. Un hardback, une tranche d’une beau bleu nuit, une petite ficelle comme marque page et une couverture à tomber. Il ne m’en a pas fallu plus pour avoir très envie de lire ce roman et quand j’ai vu « R.L. Stine », mon niveau d’excitation est encore monté d’un cran. On part pour une folle aventure, 20 nouvelles d’horreur jeunesse n’attendent que nous et surtout à ce qu’on pousse nos plus beaux cris.





Qui dit recueil, surtout avec autant de nouvelles, dit risques. Certaines histoires étaient exceptionnelles, elles m’ont vraiment transporté, elles m’ont surprises et presque fait frissonner, alors que d’autre m’ont totalement ennuyé et m’ont semblé sans fin.



On est sur un recueil jeunesse et j’aurai adoré le découvrir en ayant une dizaine d’années. Pour les fans de Chair de Poule, vous êtes au bon endroit (même si la nouvelle de Stine m’a un peu déçue et j’ai eu le sentiment de l’avoir déjà lu ailleurs). C’est typiquement cette ambiance et globalement, ce genre de raisonnement. Pour chaque nouvelles, nous n’avons pas forcément de petite morale à la fin mais on y apprend souvent quelque chose et c’est un vrai plus. Qu’importe notre âge, on passe un bon moment et chacun peut trouver des choses qui vont lui plaire. Une très bonne idée de cadeau !

Ma petite plongée nostalgique dans mes années "primaire"... Parmi tous les titres de Stine, celui-ci était un de mes favoris, l'un des moins horrifiques (c'est plutôt une histoire à suspense, assez sympathique). Je l'ai relu avec plaisir, même si être une adulte permet de mieux voir les ENORMES clichés et ficelles du livre... Mon Moi adulte a particulièrement apprécié le côté "fast-reading", quelques minutes de lecture pour un chapitre, quand on n'a pas trop le temps de lire, c'est rentable... Je dirais le livre idéal à laisser dans un coin des toilettes quand on y reste plus que prévu, et je ne le dis pas de manière négative !

Une nuit, dans la forêt de Fear Street, un jeune homme est tué. Un an plus tard, le groupe d’amis est sur le point de se retrouver lors d’une fête. Mais des menaces, des mensonges, des tromperies surgissent.

R.L. Stine a écrit ce livre début des années 90, et a tout du slasher (lycéens dépassés, faux amis, suspicion…). pas de doute, on est en terrain connu, sans réelle révolution, mais avec un goût de nostalgie dans la lecture. L’intrigue est facile, le dénouement plus ou moins attendu, mais ce petit roman d’horreur pour enfant/ado est un plaisir coupable.