On avait découvert que je prêtais ma chambre d'amis à un certain Josip Broz, qui se trouvait être un communiste croate recherché dans une demi-douzaine de pays des Balkans. il tenait des réunions du parti dans mon appartement où il désignait tel ou tel camarade en leur assignant des missions avec les mots Ti, to (Toi, ça). Il le faisait si souvent qu'on l'avait surnommé Tito.