[Henri IV :]
- Si par la prière que vous m'avez faite, vous désirez seulement le salut de mon âme, je vous remercie. Mais si vous ne souhaitez ma conversion que pour la crainte qu'un jour je vous contraigne à vous convertir, vous errez ! Mes actions répondent à cela. En outre, Messieurs, est-il vraisemblable qu'une poignée de gens de ma religion puisse contraindre un nombre infini de catholiques à une conversion à laquelle, en un demi-siècle de combat, ce nombre infini n'a pu réduire cette poignée ?