Robert Pobi

c'est sympathique, pas dingue non plus. Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long. Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long Les critiques doivent faire au moins 250 caractères de long

Je ne peux pas dire que ce roman ne m'a pas plu du tout. J'ai pris plaisir à le lire, la succession de chapitres courts étant pour moi assez agréable.



La policière qui mène l'enquête ne m'a cependant pas touchée, malgré son passé difficile qui nous est dévoilé plus ou moins rapidement. Cela ne m'a toutefois pas empêchée d'apprécier sa compagnie, comme celle d'une connaissance de longue date, un peu pénible mais à laquelle on est trop habitué pour rompre le lien.



Ce qui m'a le plus dérangée, c'est que contrairement à d'autres lecteurs dont j'ai parcouru les critiques, la fin ne m'a pas semblé amenée à la va vite. J'ai trop vite compris qui était le coupable, et j'ai pendant longtemps espéré m'être trompée. Aucune surprise pour moi à la fin du livre. Ce qui est assez décevant pour un roman policier axé sur l'intrigue (je n'ai aucun problème quand le coupable est annoncé dès le début ou en cours d'ouvrage). Là, en ce qui me concerne, le fait que l'intrigue soit basée sur "mais qui est le coupable, et pourquoi fait-il cela ?" alors que c'était pour moi résolu bien avant la fin, m'a laissé un goût quelque peu amer. Je n'ai donc pas vu l'intérêt d'une partie du livre assez conséquente, bien que je l'ai trouvé agréable à lire.



D'où une note en demie teinte : un livre dont j'ai apprécié la lecture, que j'ai "dévoré" assez rapidement, mais dont la conclusion trop prévisible m'a beaucoup déçue.



À vous de voir si vous trouvez la conclusion tirée par les cheveux ou trop évidente. Vos avis sur la question m'intéressent fortement.

Un beau soir d'octobre à New York. Privatisé à l'occasion d'un gala, le musée Guggenheim accueille 702 convives. Qu'une explosion tue net. Le bâtiment, lui, est relativement épargné. Un attentat d'une telle précision ne peut être le fruit du hasard, mais le FBI est immédiatement débordé par le nombre extravagant de victimes, de profils à comparer, de dossiers à recouper.



Le FBI fait appel à Lucas Page, un ancien agent aujourd'hui astrophysicien et professeur d'université. Atteint d'une forme de syndrome d'Asperger, il est capable de "lire" une scène de crime comme s'il y assistait, de compulser des données d'un seul coup d'oeil. Lui seul saura arrêter ce serial bomber avant qu'il ne frappe encore.

Jake Cole, profiler, revient ( à contrecœur) après plus de 30 ans dans sa ville natale, son père célèbre peintre, atteint de la maladie d’Alzheimer est à l’hôpital. Un double assassinat a eu lieu, Jack va intervenir sur cette affaire.

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Une première avec cet auteur, alors c’était bien mais pas foufou au final ! C’est sanglant, trash, très trash, bon en soit cela ne m’a pas gêné, pour autant, l’auteur ne nous épargne pas, les détails sont présents, trop présents… Mais j’ai trouvé un manque de vraisemblance, les pages défilent et le manque de réalisme se fait sentir !

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Jake reste un personnage original, meurtri et surprenant ! Atypique vraiment notre petit Jake, peut-être un peu trop cliché ?!

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Un final que j’avais en partie vu venir, c’était un peu frustrant ! J’aurais voulu être totalement surprise, mais une révélation dans ce livre a fait que…

En bref, un thriller psychologique à l'ambiance apocalyptique. L'ambiance est le point essentiel du récit, l'intrigue étant assez prévisible aujourd'hui, dix ans après sa première parution...



Ce roman traine dans ma PAL depuis des années, il était vraiment temps de l'en sortir. Et il fait partie de ces romans pour lesquels je me dis : "Mais pourquoi j'ai attendu si longtemps ?"

J'ai vraiment passé un bon moment de lecture avec ce thriller plutôt classique pour les schémas actuels mais terriblement captivant.



Robert Pobi rassemble à peu près tous les sujets que j'apprécie : un personnage principal au passé compliqué, des relations familiales dysfonctionnelles, un cold case qui refait surface et une ambiance oppressante à souhait à cause de l'arrivée imminente d'un terrible ouragan.



L'auteur n'épargne ni ses personnages, ni ses lecteurs avec des scènes criminelles et s3xuelles assez explicites et très visuelles. Attention donc si vous êtes sensibles ou réticent.e.s à ce genre de descriptions...



Le compte à rebours avant la catastrophe météorologique apporte un suspense et une tension très intéressante. On ressent le tiraillement pour les enquêteurs entre l'instinct de survie et l'envie de découvrir le pourquoi du comment de cette enquête qui les touche de très près.



Le dénouement ne surprendra pas les gros lecteurs de thriller, même si je pense qu'il était assez original en 2012 lors de sa sortie en France. On a déjà pu le retrouver dans de nombreux autres titres, mais ça fait toujours son petit effet et ça ne m'a pas empêché d'apprécier ma lecture.
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Alors la je le conseil ce livre a devoré



Son corps est une cartographie de la violence, son âme, une nébuleuse fort sombre. L'inspectrice Alexandra Hemingway n'hésite pas à prendre tous les risques. Habituée aux noirceurs les plus effroyables de l'âme humaine, elle pensait avoir tout vu. Chargée d'enquêter sur le meurtre d'un enfant retrouvé dans l'East River les pieds sectionnés, elle découvre qu'elle n'a pas connu le pire ...

Quand trop, c’est trop …

Trop sanglant

Trop gore

Trop invraisemblable

Trop violent

Trop trop

Ben voilà, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas frottée au genre thriller bien sanglant et là j’ai été servie …. Je pensais que comme cela faisait un moment, j’étais persuadée d’être un peu plus ouverte et moins critique … En effet, de plus en plus, je me tourne vers les romans noirs et des polars avec une enquête crédible, et en lisant « L’invisible », j’ai compris que je n’étais pas prête à changer d’avis …

Un enquêteur du FBI Jack Cole est retourné sur les lieux de son enfance pour s’occuper de son père, un peintre celebre qui vient de faire une crise de démence en lien avec sa maladie d’Alzheimer.

Un double meurtre qui a lieu dans le voisinage va obliger le shérif du coin à solliciter son aide.

J’avoue qu’au début, j’ai fait le lien avec « Les visages » de Jesse Kellerman, que j’ai lu il y a fort longtemps, mais très vite, l’histoire a pris un virage qui ne m’a pas du tout convenu.

Les détails bien trop sanglants et précis sont pour ma part complétement inutiles, et pourtant je suis plutôt quelqu’un qui dans la vie a le cœur bien accroché. Je n’ai pas besoin d’une surenchère de coups de théâtre et d’escalade de la violence pour apprécier une lecture, donc, non…

Donc, je me répète, non, je n’ai pas aimé cette lecture et puis c’est tout ….

A réserver aux amateurs du genre …



Challenge ABC 2023/2024

Challenge Mauvais genres 2024

Alexxandra Hemingway mène l'enquête avec ses ressentis personnels et ses fantômes. Elle le lâche rien comme le lecteur dès que l'histoire est lancée.

Je ne connaissais pas cet auteur. Je ne regrette pas ma lecture même si il faut "s'accrocher page après page.

Une bonne lecture. J'ai trouvé la trame captivante et l'écriture n'est pas désagréable sauf en ce qui concerne les dialogues. Malheureusement il y a quelques longueurs et surtout trop de redondances. Il s'agit du premier livre de Robert Pobi, je pense tenter un autre livre de l'auteur.

Lucas Page, un ancien du FBI, est aujourd'hui professeur. Mais un tueur qui sévit à NY va obliger le FBI à revenir chercher son ancien agent qui va accepter cette mission. Il faut dire que Page a une particularité, outre le fait d'être asperger, c'est d'être capable de "voir" les trajectoires des balles sur une scène de crime. J'ai beaucoup aimé ce héros, et la fin de ce livre, totalement inattendue. Excellent roman. D'ailleurs l'auteur a décidé d'écrire plusieurs histoires avec toujours le même héros. Je recommande donc chaudement ce livre.

Il n'y a rien à rien à sauver dans ce livre, ni l'écriture, ni l'histoire et encore moins le style !

Rien ne va, une intrigue bidon, une atmosphère ou se mêle meurtres et ouragan (probablement pour faire sonner une ambiance fin de monde, comme si chaque page n'y suffisait pas), un personnage qui va dans le toujours plus, (et vous remettrez bien un nouveau cadavre écorché ou une séance amoureuse SM ça donne l'appétit au lecteur) jusqu'à devenir risible et une fin qui libère enfin la lectrice en colère d'avoir perdu son temps avec un tel navet.

Lucas Page. Ancien agent du FBI, connu dans le milieu pour son syndrome d'Asperger qui lui a valu à maintes reprises des succès grandioses dans ses enquêtes.

Alors, quand l'organisation se retrouve confrontée aux assassinats d'un sniper redoutable, elle n'hésite pas à le faire reprendre du service. Lucas Page va alors se retrouver face aux démons qu'il avait quittés pour devenir prof d'astrophysique, et traquer ce tireur à la précision effroyable.

Avec son intrigue efficace et bien menée, Robert Pobi nous emmène dans un New York enneigé, avec un suspense infaillible qui nous tombe dessus à gros flocons.

Que vous lisiez ce livre en hiver ou en été, vous n'y résisterez pas !

Il y a quelques semaines, j'avais présenté "City of Windows" en coup de cœur. Eh bien voici l'excellente deuxième enquête de notre Lucas Page adoré !



L'intrigue se déroule toujours à New York mais, cette fois, la ville est sous la menace d'un poseur de bombes en tous genres. Le FBI, fidèle à ses habitudes, patauge dans l'enquête et fait alors appel à ce cher Dr. Page. Ce dernier va rapidement plonger dans cette enquête explosive.



Outre notre personnage principal favori, nous retrouvons le style d'écriture de Robert Pobi, toujours fluide et humoristique avec une intrigue saisissante et pleine de rebondissements. Nous découvrons également un Lucas Page un peu plus fragile, avec toutefois une détermination sans faille.



Mais à toujours tirer sur la corde, Lucas ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ?

Chronique de Serial Lectrice : Le petit avis de Kris pour Collectif Polar

Pas évident d’entrer dans l’histoire dès le début mais une fois située l’intrigue, impossible à poser.

Mais alors que nous raconte cette « City of windows«

Alors que New York subit la pire tempête de neige de son histoire, un sniper fou se met à assassiner des membres de la police sans laisser d’indice. D’abord un flic du FBI, puis un autre… Désemparés par l’étrange mode opératoire du tueur, Brett Kehoe se tourne vers l’ancien agent du FBI, Lucas Page. Cet ancien professeur d’astrophysique atteint du syndrome d’Asperger a la faculté de percevoir ce que le commun des mortels ne peut voir. Et Page possède un talent exceptionnel pour décrypter une scène de crime dès lors qu’angles et trajectoires entrent en ligne de compte.

City of windows est une histoire captivante de bout en bout, porté par une écriture nerveuse et addictive on ne voit pas les pages défiler.

A lire sans modération

Pas étonnant que ce titre ait reçu le Prix Cognac du meilleur roman international 2020.
Lien : https://collectifpolar.blog/..

J'ai eu du mal a le lire...mais comme je vais toujours jusqu'au bout, je l'ai fini. Le dénouement est surprenant, donc je suis quand même content d'être arrivé au point final. Je n'ai pas aimé la narration. L'auteur m'a perdu plusieurs fois. J'ai trouvé que ça tournait en rond, qu'il y avait beaucoup de répétitions.

Le retour de Lucas Page. Atteint du syndrome d’Asperger, il possède des capacités époustouflantes qui font de lui le meilleur allié du FBI. Mais cela rend sa communication avec les autres très limitée. C’est avec ce personnage très spécial que nous enquêtons sur une série d’explosions qui ravagent New York où toute logique semble perdue.



Il m’avait époustouflé dans « City of Windows », le précédent roman, et j’ai beaucoup aimé le retrouver. Dans ce deuxième tome qui ressemble au premier dans le style et les émotions que nous ressentons, l’auteur captive le lecteur sans lui laisser un seul temps mort, de l’adrénaline pure !



Un thriller à suspens oui, mais pas seulement. L’auteur nous fait réfléchir à l’impact des réseaux sociaux et plus généralement de la technologie dans nos vies. Certains passages bien sarcastiques produisent leur effet.



Pour moi c’est la recette d’un bon polar, de quoi passer un très bon moment de lecture. Et qui sait peut-être que Lucas Page reviendra pour une troisième enquête ?

Sur la couverture il y a d’écrit « Le meilleur triller depuis les visages »… L’ayant adorée, j’ai voulu lire celui-là. Le seul point en commun avec ce dernier c’est l’art, et des tableaux qui cachent un « secret »… Sinon…

C’est du grand n’importe quoi !



Parfois il m’est arrivé de retourner en arrière, pour être sûr de bien avoir compris ! Tellement que c’est aberrant !

Une des choses qui m’a le plus déstabilisé, c’est que j’ai trouvé le meurtrier bien avant le milieu de l’ouvrage… ce qui m’a fortement donné envie de le terminer rapidement…



Je ne renouvellerais pas avec cet auteur !

L’invisible doit rester invisible…



Bonne lecture !

Si vous cherchez un thriller palpitant, doté d’une grande dose de suspens, avec une enquête riche en rebondissements et qui se déroule sur les chapeau de roues : je vous l’ai tout trouvé avec « City of windows » de Robert Pobi. J’ai adoré ce livre de la première à la dernière page.



Après un meurtre perpétré par un sniper sur un agent du FBI, l’enquête est confiée à un ancien agent du Bureau : Lucas Page. Devenu professeur à l’université, asperger de haut niveau, il a une configuration spatiale totalement hallucinante et peut décrypter les scènes de crimes sans nulle autre pareille.



Ce personnage atypique d’enquêteur est diablement efficace et attachant. Il revient pour une seconde aventure sous le titre de « Serial Bomber », paru aux Editions Les Arènes, dans la collection Equinox et en format « poche » aux Editions Points.



Ce livre écrit de façon très visuelle, j’ai eu l’impression de vivre le récit. Malgré les un peu plus de 500 pages, ce page-turner se dévore littéralement. Je n’ai aucun grief pour ce livre qui a été un véritable coup de coeur.



Je vous le conseille très fortement!
Lien : https://www.musemaniasbooks...

ROBERT POBI/L’INVISIBLE

Si vous voulez lire un mauvais thriller, allez-y, ne vous gênez pas : c’est celui là qu’il faut choisir, car ce roman est vraiment affligeant de médiocrité.

Je suis allé tout de même au bout des 475 pages pour être certain de porter un jugement étayé, même si j’ai perdu mon temps.

Aucun suspense, aucune intrigue qui tienne la route, des descriptions à l’emporte pièce qui ne veulent rien dire, des personnages absolument pas crédibles.

Si vous voulez du sang, alors vous serez servi, même gratuitement, sans un frisson.

Et même si par instant quelques lignes font sourire, tout cela reste l’œuvre d’un grimaud qui ne devrait pas avoir droit de cité dans une bibliothèque quelle qu’elle soit.

« Dites à un parent que son gamin a été réduit en bouillie par un conducteur ivre ou qu’il roulait en état d’ébriété et qu’il a tué quelqu’un, vous passez en mode combat » , dit Jake (du FBI). » Bof, cette phrase m’a fait rire, oui, car je ne voyais pas où l’auteur voulait en venir.

Donc ne perdez pas votre temps : lisez plutôt Dan Brown ou Ellroy.

je vais faire une pause dans la lecture de Pobi, car je me sens fatigué de ces histoires invraisemblables ,avec des héros aux profils tres voisins ( des flics entre 2 âges, ayant vécu des histoires sombres, équipé d'un pouvoir sur naturel ( un peu comme les super héros mais sans slip rouge) , avec une femme adorable et un enfant, et qui sauve le monde mais qui est tellement torturé qu'il préférait quitter la police ( chose qu'il ne fera jamais)....et tout cela est bien long....me vient une grande envie de relire Simenon, Camilleri, et d'autres classiques , avec des "héros" normaux.