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Citations de Robin Cook (421)


Je peux te dire une chose : je n'ai été dans la salle d'abattage que vingt secondes, mais je crois que je suis devenu végétarien à vie
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- Ca me retourne l'estomac, quand je pense à ce qu'il y a dans un hamburger.
- Que voulez-vous dire ? c'est du muscle.
- Du muscle et pas mal d'autres trucs. Avez-vous déjà entendu parler du système avancé de récupération de viande ?
- Je ne crois pas.
- C'est une processus sous haute pression qu'on utilise pour nettoyer les os du moindre bout de viande. Il en ressort de la boue grise qu'on teinte en rouge et qu'on ajoute aux hamburgers.
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Elle pensa au dicton qui dit que si le garçon peut quitter le pays, en revanche le pays ne quitte jamais le garçon.
Page 125
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page 339
[...] "Je vois quelque chose, reprit Vince. On dirait une vieille station-service ... Il y a un véhicule devant ... il correspond à la description."
Le pilote ralentit. Vince avait du mal à empêcher les jumelles de danser devant ses yeux.
"Ouais, je crois que c'est le bon. Descendons voir ça de plus près."
L'hélicoptère perdit de l'altitude, soulevant bientôt de monstrueux tourbillons de sable et de poussière. Lorsque les patins furent solidement posés sur le sol, le pilote coupa le moteur. Les pesants rotors ralentirent et s’arrêtèrent, et Vince descendit de la cabine.
L'ex-policier commença par vérifier la voiture. Dès qu'il eut ouvert la porte, il sentit que Cassy s'était trouvée ici. Il regarda dans le compartiment à bagages. Celui-ci était vide.
Il fit un geste et les deux autres policiers se dirigèrent vers la construction délabrée et y entrèrent. Vince resta à l'extérieur et parcourut l'horizon des yeux. La chaleur était telle que l'air faisait onduler le paysage.
Les deux policiers ressortirent rapidement, adressant un signe de dénégation à leur chef. Elle n'était pas là.
Ils retournèrent vers l'hélicoptère. Elle était tout près. Il le sentait. Et d'ailleurs, aurait-elle pu aller bien loin, avec cette chaleur ? [...]
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Chaque jour, il vivait de nouvelles expériences, chaque jour, il découvrait quelque chose qu'il n'avait jamais vu auparavant, chaque jour, il apprenait un geste, un savoir quelconque qui faisait de lui un meilleur médecin. Pour Noah Rothauser, entrer à l'hôpital , c'était revenir à la maison.
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- Oui, mais quelle différence ça fait quoi si c'est toi ou moi qui la descendons ?
- Au bout du compte, aucune. Mais c'est moi qui suis chargé du boulot, et c'est moi qui descends la femme. Je veux être certain qu'elle soit morte. C'est moi qui doit en répondre devant Cerino.
- Alors tu penses que tu peux descendre quelqu'un mieux que moi ? dit Tony d'un air offensé.
- Oh ! bon sang ! Tony ! Tu pourrais t'occuper du suivant, si tu veux. Si on faisait ça chacun notre tour.
- D'accord, c'est juste. Fifty, Fifty.
- Content que ça te plaise, grogna Angelo en levant les yeux au ciel. Ma parole, on se croirait au jardin d'enfants ! Allez, on y va.
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C’est comme si je m’étais mis des œillères. J’ai fini par me rendre compte que l’argent est un objectif séduisant, mais illusoire, et que c’est une drogue. Le problème, c’est qu’on n’est jamais satisfaits.
Page 472
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Denise lui embrassa furtivement la main avant de le regarder par-dessus ses cils bruns, délibérément provocante, sachant pertinemment que ce geste apaiserait sa soudaine colère. Cela marche, comme d'habitude, et Martin se mit à rire. Il lui pressa la main avant de la lâcher puis regarda autour de lui pour voir si quelqu'un avait remarqué le manège.
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"Elle buvait son thé en le dévisageant d'un air hagard. Elle ignorait qu'elle était en présence de son fils. Et lui avait cessé de s'étonner de cette absurdité ; il n'en souffrait même plus beaucoup. Si Dieu existe, songea-t-il, il a un sens de l'humour bien étrange. Ce n'est pas ainsi que les gens devraient quitter ce monde."
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C'est de pire en pire ! Je n'arrive pas à croire que jamais je n'y avais réfléchi. Je veux dire que... comme je mange de la viande, je suis responsable de la situation, d'une certaine manière.
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- Ça me retourne l'estomac, quand je pense à ce qu'il y a dans un hamburger.
- Que voulez-vous dire ? c'est du muscle.
- Du muscle et pas mal d'autres trucs. Avez-vous déjà entendu parler du système avancé de récupération de viande ?
- Je ne crois pas.
- C'est un processus sous haute pression qu'on utilise pour nettoyer les os du moindre bout de viande. Il en ressort une boue grise qu'on teinte en rouge et qu'on ajoute aux hamburgers.
- C'est répugnant.
- Tous les tissus nerveux, comme la moelle épinière, entre dans la composition des hamburgers.
- Vraiment ?
- Absolument ! Et c'est pire encore que vous ne le croyez.

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Les gens ont envie de croire qu’une pilule magique peut corriger leur mode de vie malsain. Avaler un cachet, c’est tellement plus facile qu’avoir une alimentation équilibrés, faire de l’exercice et dormir suffisamment d’heures chaque nuit!

(Albin Michel, p. 262)
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A vous de voir, grogna Mason. C'est vous la marchande de sable.
- L'anesthésiste , corrigea Ava du tac au tac.
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- L'atmosphère compétitive de la médecine rend toujours fascinants les pépins des autres dit Thomas en poussant doucement Cassi sous la voûte de la salle à manger. Que ce soit des erreurs humaines ou une décision de Dieu.
La justesse de cette dernière remarque donna mauvaise conscience à Cassi. Elle n'avait jamais envisagé les choses ainsi, mais c'était vrai.
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Kim voulut libérer son bras, mais Roger tient bon. Frustré, Kim gifla le manager de son autre main avec beaucoup plus de force qu'il ne l'aurait voulu. Le coup fit tourner la tête de Roger, lui fendit la lèvre supérieure et l'envoya au sol pour la seconde fois.
Sans un regard pour sa victime, Kim suivit Paul, qui avait ouvert la porte du congélateur. Il entra. Craignant la taille et l'impulsivité de Kim, Paul lui laissa toute latitude. Il se retourna et regarda son patron maintenant assis par terre et qui essuyait sa lèvre ensanglantée. Il ne savait pas bien ce qu'il fallait faire mais il décida de suivre Kim dans le congélateur.
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- Vous avez la table numéro six, dit l'un des employés, occupé à nettoyer un morceau d'intestin dans un vaste évier.
Laurie jeta un regard à Lou, qui s'était arrêté sur le seuil. Elle le vit avaler sa salive. Bien qu'il ait affirmé avoir déjà assister à des autopsies, elle se doutait que ces ''manipulations'' n'avaient rien d'agréable pour lui. Avec le bout d'intestin qu'on nettoyait, l'odeur n'était guère plaisante non plus.
- Vous pouvez sortir quand vous voulez, précisa-t-elle.
Lou leva la main.
- Ça va bien. Si vous pouvez supporter ça, je dois pouvoir le supporter aussi.
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Ce devait être l'avis de toute personne qui réfléchit. Nous devons amener les médias à faire comprendre aux gens que la contamination ne doit pas être tolérée, même si cela signifie que le produit coûtera un peu plus cher.
- L'ambition est grande, commenta Tracy.
- Autant viser haut, dit Kim. Et ce n'est pas impossible. Après tout, la viande n'a pas toujours été contaminée. C'est un phénomène assez récent.
Au loin, ils aperçurent les prés de stockage où en ce jour ouvrable, attendaient des troupeaux de bovins qui piétinaient dans la boue.
'' C'est si triste dit Tracy, en regardant la mer d'animaux. Ils attendent tous dans le couloir de la mort et ils ne savent pas. ''
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Jamais il n'aurait accepté de montrer son ignorance en la matière. Il ne voulait pas non plus qu'un homme d'affaires qui ne faisait rien de plus que de brasser de la paperasse ait un tel statut, alors que lui, qui travaillait douze heures par jour sur le coeur des gens, avait du mal à conserver en état de marche une Mercedes vieille de dix ans.
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[...] il se demanda tout à coup si c’étaient les réseaux sociaux qui rendaient les gens narcissiques parce qu’ils leur offraient sans cesse l’occasion de se mettre en valeur, ou si c’étaient les personnalités narcissiques qui étaient attirées par les réseaux sociaux pour la même raison. (p. 350)
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Toska est un mot russe qui exprime la mélancolie, la dépression, la nostalgie, l'angoisse, les regrets et le découragement qui s'abattent tout à coup sous la forme d'une profonde douleur psychique.
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