A cette époque, on n'avait pas encore besoin de vélos. On marchait et on courait. On courait pour se sauver. Se sauver, c'était ça le plus drôle. On criait des trucs aux gardiens, on jetait des pierres sur les fenêtres, on tirait les sonnettes...et on se sauvait. D'un bout à l'autre, Barrytown nous appartenait. Pour l'éternité, Barrytown, c'était un monde.