Le baraquement nous efface.
Nous sommes sans visage.
Il nous gomme des autres. Tant mieux.
Le décrire, ce lieu, ce "trop chaud l'été" , ce "trop froid l'hiver", ce mauvais sommeil, ce manque de sanitaires, c'est décrire un manque humain, hurler sa rage.
Là où nous étions, nous étions à peine.