Au pouvoir, à compter de 1933, Hitler n’avait guère tempéré sa rhétorique antisoviétique. Avec le temps, l’hostilité était devenue implacable ; il manquait rarement une occasion de condamner sans appel Moscou et ses agents, et de louer le rôle de l’Allemagne nazie au premier rang du combat contre le communisme. (page 40)