Laval, aussi bien que Darlan, visiteurs de Berchtesgaden après François-Poncet, avaient été stupéfaits de la vulgarité de l'ameublement et du cadre. Des meubles en pitchpin, des chromos de bazar, des tableaux qui étaient malheureusement l'oeuvre du propriétaire, des sculptures en bois qui représentaient des légumes, justifiaient le mot du baron de Mareste, l'ami de Standhal : "Le mauvais goût mène au crime."