Les gardiens du musée, qui montrent des personnages de cire, un prisonnier dévoré par les rats, et un enlisé dans la stéarine, redoublèrent les appels, vantèrent leur périscope.
Ils y allaient sans vergogne, sans méchanceté d'ailleurs, ni dessein d'ennuyer le collègue, mais avec l'aisance d'un long entraînement ...