Ah oui, qu'elles m'enchantent, ces photographies, en me faisant vivre un passé que je n'ai pas connu, et dont sans elles je ne mesurerais pas le caractère hautement érotique (...) Comme elle me plaît, cette sylphide méditant devant les vagues, assise sur le sable, jambes ramenées contre le corps, cuisses contre les seins, mains posées sur le coup de pied. Un bandeau dans ses cheveux clairs, des sandales olympiennes, le profil d'Aphrodite...
Christophe Ono-dit-Biot