Et, à propos de musique, je ne peux évidemment faire l'impasse sur le poème symphonique de Sergeï Rachmaninov (1909), dans lequel, écrit Zelazny, Sandow a puisé une partie de son inspiration. La mesure en 5/8 rendant à la fois le balancement des vagues et le geste du rameur, le leitmotiv citant le Dies Irae médiéval, le jeu solennel des cors, les passages plus clairs au hautbois, à la flûte, au violoncelle, sonnant comme un déchirant adieu à la vie, tout contribue à rendre cette pièce mémorable. (Préface)