La sodomie pratiquée par le mari sur sa femme, considérée comme une copulation extraordinaire, offensait Dieu mortellement. Sébastien Barillet qui, lors d'un procès de séparation de corps jugé à Moulins en 1692, estimait "que la femme devait obéir en tout à son mari, et qu'elle n'en était pas morte toutes les fois qu'il l'avait connue charnellement en cette sorte" apprit à ses dépends qu'il avait offensé le Créateur.