J'ai le goût du merveilleux. Ce sont des restes d'enfance. Il n'y a pas de création sans ça. J'ai un goût très vif pour tous les papillons du merveilleux et j'essaie de les saisir, et qu'ils soient observés, vécus ou créés, c'est la même chose, c'est toujours une quête du merveilleux. Le cinéma, c'est un filet à papillons, comme le roman, comme la vie vécue.