(à propos de la femme sauterelle)
Cet être imaginaire, en plâtre, était assis, presque accroupi; ses longs bras, terminés par de fortes mains ouvertes et menaçantes, étaient allongées en avant, les coudes soutenus par les puissants genoux des membres inférieurs. Il y avait dans son visage humain une expression ardente et tendue.
Georges Limbour