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Citations de Rose Darcy (79)


Harper n’avait pas la foi. Il ne croiait pas en Dieu. Pourtant, depuis qu’il avait vu Blake traverser la cour presque deux ans plus tôt, Harper avait découvert qu’il pouvait croire en quelques chose, ou plutôt, en quelqu’un. Il ne venait pas à l’église pour prier, il ne suivait pas les séances de Blake parce qu’il espérait avoir une deuxième chance.
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« Ha ! » hurla Laura à en faire trembler les murs.
La jeune femme contemplait le massacre, debout devant le miroir. Au sortir de la douche, elle avait enroulé une serviette de bain autour de ses cheveux le temps de se sécher. Elle venait juste de l’ôter et n’avait pu retenir le cri venant d’éclater contre les parois de la pièce.
L’horreur !
Laura tira sur une mèche de ses cheveux, incrédule.
« Verts, murmura-t-elle. Ils sont verts ! »
Et pas n’importe quel vert !
Pas un vert tirant sur le noir, ce qui aurait encore pu être portable. Non. Ses cheveux étaient vert… fluo !
« J’y crois pas ! J’ai les cheveux Stabilo ! »
Passant et repassant les doigts entre ses mèches, Laura avait les larmes aux yeux. Sa tristesse s’effaça cependant rapidement face à la colère quand, inspectant la bouteille de shampoing, elle comprit qui était derrière tout ça.
« Derrick », souffla-t-elle.
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Toi ? Tu as embrassé un autre mec ? Sérieusement ?
Sydney acquiesça. Il avait l’impression d’être un extraterrestre à ce moment-là. A son premier vrai baiser à vingt-quatre ans faisait sans doute de vous quelqu’un en dehors de la norme
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Pacey maintient les hanches de Kerr en placet qu’il le suce, sa langue virevoltant sur la peau du sexe bandé de son amant. Il veut lui faire perdre la tête rien qu’avec elle, rien qu’avec le frottement de ses succions languides.
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J'ai juste le temps de hocher la tête que Greg me fait pivoter et me plaque contre la paroi de l'ascenseur. Un petit sourire et il vole mes lèvres, les entraînant dans une caresse langoureuse. Il ouvre mon manteau et passe ses mains sous mon pull. Je soupire au contact de ses paumes encore froides qui parcourent ma peau. Sa bouche dérive sur mes lèvres, avant de les entrouvrir. Greg s'engouffre dans la brèche. Je glisse une main sur sa nuque et l'autre entre les mèches de ses cheveux tandis que sa langue contre la mienne se fait entreprenante. La chaleur monte ostensiblement dans cet ascenseur.
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-No, c'est toi que je veux. Personne d'autre. Ca n'a pas changé en treize ans. Ce sera toujours toi.

-Pourquoi? murmuré-je.

-Je ne peux pas te l'expliquer. Je le sais, c'est tout.

Le Mâle laisse sa main s'approprier ma joue. Son pouce vient caresser mes lèvres.

-Tu as beau être la plus chiante, la plus exaspérante...

-Hey!

-...Je t'aime quand même.
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Je fonce à la vitesse d'un escargot anémique vers la salle de bains. Mon visage dans le miroir me fait peur. Je pose les mains sur mes joues et tends ma peau vers le bas. C'est officiel, je suis la soeur de Frankenstein. Voilà ce qui arrive quand on oublie de se démaquiller avant de pieuter. Le carnage! J'ai des coulées de mascara sous les yeux, des cernes au bleu incomparable, les cheveux en bataille, le rouge à lèvres qui a bavé... Ouais, c'est Halloween ce matin.
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Il s’était attendu à tout sauf à ça. Cependant, il savait aussi qu’il ne devait rien faire, surtout pas.

Garde les mains dans tes poches vieux !

J’ai pas de poches, débile, je ne porte qu’une serviette de bain !

Galère…

Il fallait que Laura arrête de le regarder comme ça, sinon Derrick ne répondrait plus de rien. La seule idée qui lui venait à l’esprit quand il accrochait les yeux de la jeune femme était la vision de cette dernière, allongée sur le lit et lui au-dessus d’elle, couvrant son corps de baisers…

Droopy, Droopy, Droopy …

Ils étaient amis, rien de plus. Ils ne devaient pas être quelque chose de plus !

Techniquement parlant, vous ne l’êtes pas vraiment. Amis, je veux dire…
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« Qu'est-ce que c'est ? Demanda Derrick.
-Ça, c'est un mot de ta voisine de chambre. Tu verras, elle en colle partout et nous refait la déco de la maison à coups de bouts de papier fluo », lui expliqua Lucas.
Le jeune homme décolla le post-it vert de sa porte et le fixa comme s'il était radioactif.
Chez moi... Ben voyons ! pensa-t-il.
« Tu peux m'expliquer ? demanda-t-il à son ami en serrant la note dans son poing.
-C'est Smiley ! répondit Lucas en souriant.
-Smiley ?
-Le surnom de Laura, la plus jeune du groupe. Tu la rencontreras tout à l'heure. Tu vas l'adorer ! »
Rien que ça !
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Cam est tout sauf chou, il faut reconnaître. Il est dangereux et addictif. Il n’a rien d’un bonbon en sucre, il est le venin qui s’insinue sous votre peau jusqu’à ce que vous soyez irrémédiablement contaminé. Dangereux, mortel, sont des qualificatifs plus appropriés pour le décrire.
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J'avais oublié ça aussi. Cette superbe magnifique, éblouissante, robe.... a une fermeture dans le dos ! J'ai beau essayer d'en attraper le bout pour la remonter, impossible de l'atteindre. Je ne me contorsionne comme je peux mais n'arrive à rien. Quel est l'imbécile qui inventé ça ? Un homme, c'est clair. Tous les mêmes...
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Pff. Je hais les couples, ils me gâchent la vie !
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Assis sur un banc de bois, Pacey observe les courbes exposées du corps nu de celui qui, au fil de la saison, est devenu son ami. Si tentantes pour ses prunelles bleues qui les dévorent depuis trop longtemps déjà. Des regards voilés, volés aux yeux des autres. Pacey se cache. Comme il l’a fait ces neufs derniers mois.
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il ne pouvait plus mentir. Aux autres. à soi-même. C'était devenu trop dur. Wonho voyait ses chaînes se resserrer autour de lui de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il ne puisse plus respirer. Il n'y avait plus de couleurs , plus de rires. Juste le silence. Le noir. Et ce trou en lui que rien ne pouvait combler
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« — Trouvé !

— Fiche-moi la paix, murmuré-je.

— Dans tes rêves.

La seconde d’après, Bastien se soulève à la force de ses bras et passe ses jambes par-dessus le mur. La suivante, il saute dans la cabine, atterrissant devant moi. Je me recroqueville un peu plus contre la paroi. Bastien s’accroupit et se penche vers moi.

— Chaton, regarde-moi.

J’obtempère. Même si la dernière chose que je souhaite c’est qu’il me voie dans mon état actuel, je suis incapable de ne pas chercher le contact de ses yeux.

— Ne pleure plus, d’accord ?

Je ne dis rien, me coulant dans la sensation de ses mains sur mon visage, des miennes qui les entourent. Les mots sont bloqués dans ma gorge, terrassés par l‘intensité de ce qui se cache dans les prunelles de Bastien.

— Je ne sais pas ce que te voulait cette espèce de crétin fini au bar, mais c’est terminé. OK ?

Je hoche la tête.

— Merci, soufflé-je. Tu n’étais pas obligé de…

— Dylan, je prendrai toujours soin de toi. »
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— Quand je suis rentré hier soir, j’ai vu que Burton avait disparu.
— Burton ?
— Mon ours en peluche.
— Oh, ce vieux machin sur ton lit, tu veux dire ? l’interrogea Blair en souriant.
Sydney sentit ses lèvres se pincer dès que le « vieux machin » franchit celles de son amie. Enfin, son ancienne amie, clairement. Vieux machin ? Burton était son doudou ! Pas un vulgaire « machin » !
— Il était à côté des tas de vêtements sur ton lit alors j’ai naturellement pensé que…
Le visage de Sydney se décomposait au fur et à mesure qu’il saisissait toute l’horreur de la situation. Son meilleur ami avait été donné aux bonnes œuvres ?
— Il ne fallait pas ? demanda Blair en se mordillant la lèvre inférieure d’un air contrit.
— Je dois le récupérer, dit Sydney.
Sa voix était atone. Mais son cœur, lui, ne cessait de cogner contre ses côtes. De plus en plus fort. Il n’était peut-être pas trop tard. La vente avait eu lieu samedi. C’était lundi matin. Peut-être que personne n’avait voulu débourser un cent pour Burton. L’espoir, un mince espoir, naquit en Sydney.
— Enfin, Syd, tu n’es pas sérieux !
— Bien sûr que si ! s’énerva-t-il soudain. C’est mon doudou, Blair ! Je l’ai depuis que je suis né ! Je ne voulais certainement pas m’en séparer ! Je veux qu’il revienne !
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« Note de l’auteur : cette scène se déroule dans les vestiaires de la caserne... après la douche. Devons-nous préciser que, pour moitié, les protagonistes ne portent qu’une serviette de bain tombant sur les hanches, dévoilant leurs tablettes de chocolat, et que, pour l’autre moitié, ils ne sont vêtus que d’un jean ou d’un pantalon de jogging ? Non, nous pensons que l’imagination de la lectrice (ou du lecteur) jouera d’elle-même dans ce cas. »
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Ce n'est pas la fin de l'histoire mais son début.
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— Au travail ! Il y a des cœurs brisés qui attendent que tu les répares avec tes conseils avisés
— Prie pour eux, chef ! Ils ne sont pas près de recoller les morceaux.

— J’ai la foi, plaisante Éros avant de s’en aller.

Je m’installe devant mes écrans, déblayant autant que je peux mon bureau, et me connecte aux serveurs. Lorsque la page du courrier du cœur s’affiche, j’ai des sueurs froides. Il y a plus de cent messages sur le blog ! Cent ! Papy, si je parviens à répondre à seulement l’un d’entre eux sans avoir envie de me fracasser le crâne contre le clavier, ce sera un miracle !

Prenant une longue inspiration, j’ouvre le premier billet et… explose de rire. Merde, c’est du lourd !



Chère Avalon,

Aujourd’hui, le pénis de mon petit ami est resté coincé dans le mauvais trou. Et par le mauvais trou, je veux dire la pompe de la piscine. Pensez-vous qu’il pourra bander à nouveau ? Ou dois-je profiter de l’occasion pour m’acheter un gode de vingt-cinq centimètres ?

Merci pour votre réponse,

Clara


Ma réponse est déjà toute trouvée !
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J'ai besoin d'être la moitié d'un tout, la moitié d'un autre. C'est ainsi. J'ai un coeur sucré et j'assume.
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