« La difficulté majeure restait d’échapper à la prédation sexuelle qui sévissait de manière endémique à l’hôtel de Vendres , comme dans la majorité des maisons bourgeoises ou aristocratiques de ce début de XX° siècle.
La vertu affichée des maîtresses de maison couvrait l’état de quasi - prostitution du prolétariat domestique .
Les agressions et les viols étaient souvent le fait des maîtres, mais aussi de leurs hôtes et très souvent des autres membres du personnel ».