Citations de Rosemary Rogers (109)
Le destin les avait réunis. L'amour ferait qu'ils resteraient ensemble.
Les hommes malhonnêtes ne manquent pas, de nos jours.
La générosité n'est jamais récompensée !
Quand on abuse des jeunes filles, on est capable du pire !
Sous l'échafaudage d’affreuses plumes et de voilette qu'elle portait sur la tête, il découvrit, immenses, des yeux couleur d'améthyste frangés de longs cils noirs.Captivé, il contempla le nez droit finement ciselé, le petit menton volontaire creusé d'un soupçon de fossette, et la bouche...une bouche sensuelle,faite pour embrasser, non pour débiter des prêchi-prêcha ! Une bouche de femme dans un visage d'enfant.
C'était ça aussi, le Mexique. La Fiesta. La danse pour oublier la misère et le désespoir, cette vie difficile qui est le lot des paysans.
Quelque part, au tréfonds de son subconscient, une voix s'élevait pour la convaincre : ainsi, c'est cela, une fièvre qui monte en accès brutal, un reptile immobile dans les replis de l'abdomen et qui, soudain, déroule délicieusement ses anneaux, une ondée de miel filtrant par tous les interstices qui la rendait incapable de vouloir, de désirer ou simplement de comprendre ce qu'elle attendait de lui.
Les gens regardaient d'un air curieux ces deux jeunes femmes qui formaient un tel contraste : Sara Colville dans son élégant tailleur Givenchy et Delight Adams dans des jeans moulants rentrés dans ses bottes et un corsage en coton qui épousait un peu trop ses courbes fermes. Elles n'avaient pas l'air de deux sœurs, maintenant que les yeux verts de Delight étaient cachés. Pourtant quand elles étaient vêtues et coiffées de la même façon, on les prenait pour des jumelles.
Chercher le bonheur n’est pas trahir vos parents. Au contraire, c’est le seul moyen d’honorer leur mémoire.
Le pouvoir réside dans la connaissance. Si je savais ce qui pousse les hommes à désirer aussi ardemment les femmes et pourquoi les femmes leur cèdent si aisément, peut-être serais-je plus forte.
Il n'y a que les insensés pour dédaigner les mises en garde.
La société apache à laquelle j'étais en train de m'intégrer s'inspirait des principes du Moyen Age. Les hommes, guerriers pour la plupart, détenaient la totalité du pouvoir ; les femmes, soumises et dépourvues de droit, accomplissaient toutes les tâches. Jamais elles ne devaient parler en présence des mâles sauf si elles y étaient invitées.
Pour la fidélité, c’est bien vrai qu’il y a des grandes dames qui sont des putains et des putains qui sont des grandes dames.
Les hommes étaient lents et un peu obtus parfois, ce qui signifiait que si la femme ne prenait pas l'initiave, ils pouvaient ne jamais se rendre compte de ce qu'ils perdaient.
En fuyant, on connaît un sort pire encore que celui auquel on voulait échapper.
Certaines femmes ne sont pas faites pour être enceintes. Les hanches, madame, les hanches ! Et cette fichue mode d’aujourd’hui ! Elle est beaucoup trop maigre. Elle a besoin d’être gavée.
A bord d’un bateau de guerre, on ne peut pas se permettre d’être faible ni de se laisser intimider.
Le flirt, les leçons de danse et d’équitation, et même des cours de géographie, d’histoire et de philosophie : c’était un tourbillon d’activités. Des femmes comme madame de Staël avaient mis l’intelligence féminine à la mode, du moins en France. En Angleterre, une femme qui aurait osé exprimer une opinion personnelle et la défendre se serait vite fait traiter de bas-bleu.
Les femmes qui refusent d’éprouver la moindre sensation ont toujours fait les meilleures putains…
Grâce au ciel, le mariage n'est pas une affaire de tout repos ! C'est une aventure qui demande des efforts continus, un travail de tous les jours, seul et unique moyen en vérité de sauvegarder et d'approfondir des relations vivantes, d'être éternellement curieux de l'autre, de ne pas s'enfermer dans la routine, la résignation, la passivité. Qui sait ? Cela peut s'appeler aussi l'amour.