Je me disais: pour que l'âme puisse admettre l'expérience du monde de l'esprit, il est indispensable aussi de développer une pensée capable d'accéder jusqu'à l'essence même des phénomènes naturels. Mes troisième et quatrième années au lycée technique furent marquées par ce genre de sentiments. Tout ce que j'apprenais, je l'ordonnais moi-même en vue de m'approcher du but que je m'étais proposé.