AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ruth Ware (626)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Promenez-vous dans les bois...

Thriller sympa, mais qui ne marquera pas les esprits, le dénouement est au final assez facile.

Dans le style huis clos dans une cabane en forêt, je choisis de loin la forêt des ombres de Thilliez...
Commenter  J’apprécie          70
Promenez-vous dans les bois...

Une lecture rapide et agréable, mais rien de foufou !



J'ai aimé le côté huis-clos. Le stress et la tension présents par moments ont fonctionné sur moi mais le dénouement final n'a pas été une surprise malheureusement. Je trouve qu'on devine ce qui s'est passé bien trop facilement.



Mais bonne ambiance !



Donnez-moi ça mais avec une fin qui me piège et là je dirais "oui" !
Commenter  J’apprécie          70
Promenez-vous dans les bois...

J'avoue que le titre du récit m'a induite en erreur quant à son contenu. Alors que je l'adore, je ne pense pas qu'il soit bien adapté. Un texte qui m'a pourtant beaucoup plu. On suit l'histoire à son commencement et également lorsque le drame a eu lieu. Avec les indices que l'auteur sèmes, on s'attèle à découvrir ce qu'il s'est vraiment passé dans cette maison de verre.



L'auteur nous emmène dans un décor inquiétant. Un drôle d'endroit pour fêter un enterrement de vie de jeune fille. Isolé de tout. La plume de l'auteur est addictive. La tension monde crescendo au fil des chapitres et ne nous quittera pas avant le terme. Mais que s'est-il passé? Comment ont-ils pu en arriver là? J'avoue cependant avoir trouvé certains points assez prévisibles.



Une ambiance de huit-clos avec des personnages très différents et assez troublants pour certains. Personnalités qui peuvent amener le lecteur sur de fausses pistes. Nora, la principale protagoniste du récit, est une jeune femme qui porte un poids énorme sur ses épaules. Un passé dont elle a du mal à se défaire et qui revient la hanter. Un passé intriguant mais néanmoins prévisible sur certains points.



J'ai adoré le final et le fin mot de l'histoire. Découvrir comment tout a véritablement commencé. A quel point une personne peut être dérangée pour arriver à ses fins par de tels extrémités. Une conclusion qui m'a surprise parce que je n'avais pas imaginé qu'elle puisse être aussi tordue.



Même si, je vous l'ai dit, le titre n'est pas parfait, cette lecture m'a emportée et totalement séduite.
Lien : http://unmondedepassionsetde..
Commenter  J’apprécie          70
Promenez-vous dans les bois...

Une jolie couverture, une quatrième de couv alléchante, allez hop ! J'embarque le premier livre de la britannique Ruth Ware dans mon sac pour le lire dans le train.

Nora est invitée à l'enterrement de vie de jeune fille de son amie de lycée Clare, qu'elle n'a pas revue depuis dix ans. Avec quelques autres amies, Flo, la demoiselle d'honneur, va s'acharner à faire de ce WE un moment mémorable pour sa meilleure amie. Nora va apprendre, horrifiée, que le futur mari de Clare est son amour de jeunesse, qu'elle n'a jamais totalement oublié. Puis un cadavre vient couronner un WE déjà compliqué...

Alternant passé et présent dans un style limpide, voire simpliste, l'autrice nous balade et nous en redemandons. Ce livre est totalement addictif, impossible de le lâcher jusqu'à ce que l'on découvre toutes les vérités...

Un bon thriller mais qui ne restera pas dans les annales.
Lien : https://clairesalander.wordp..
Commenter  J’apprécie          70
Le Chalet des Disparus

Je pensais ne pas avoir le temps de lire ce thriller par rapport à son nombre de pages (plus de 400) et finalement, je l'ai dévoré en deux jours. Il est étonnant et dynamique. Le lecteur lit les pensées de deux différents personnages. De plus, le récit à lieu sous forme de huis-clos, ce qui ajoute une tension supplémentaire, tour comme les chutes de neige constantes et l'évolution des conditions de vie au chalet. Une bonne intrigue.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          60
La clé du sang

J'avais beaucoup aimé la Mort de Mes Westaway et je dois dire que j'ai vraiment bien aimé la Clé du sang.

Il faut dire que, dès les premières pages, j'ai vraiment accroché à l'histoire et à la promesse d'une histoire se passant dans une région isolée d'Ecosse...si, finalement, l'Ecosse n'est vraiment que anecdotique dans l'histoire (ça aurait franchement pu se passer n'importe où) l'histoire à continué à me tenir en haleine jusqu'au point final.

La façon dont l'histoire est introduite, composée de brouillons de lettre inachevés est vraiment accrocheuse et fait ressentir tout le désespoir d'une femme qui crie son innocence : non, elle n'a pas tué cet enfant, il faut que l'avocat la fasse sortir de prison.

Donc, d'entrée de jeu, on connait la fin de l'histoire...reste à savoir comment on en est arrivé là.

Et j'ai adoré me faire avoir.

J'ai frissonné avec le personnage principal, j'ai admiré le courage avec lequel elle affronte les situations, j'ai guetté les bruits de mon grenier à l'écho des bruits qu'elle entend de son côté.

Et ce final...Pour tout ça, je dis bravo.

Il y a juste un petit quelque chose qui m'empêche de mettre 5 étoiles, un truc en trop dans l'histoire mais pas grand chose qui se noie finalement dans l'ensemble.
Commenter  J’apprécie          60
Le Chalet des Disparus

Je ne vais pas jouer les critiques spécialistes ès littérature, en affirmant que ce roman est inspiré, voire pompé sur un tel ou une telle…

Cela dit, il s’en exhale comme un parfum de déjà vu, un huis clos genre les dix petits nègres (ou ils étaient dix si on a peur de tomber dans le langage incorrect !)

J’ai été frappé par les longueurs et les répétitions, genre « enfoncez-vous bien ça dans le crâne ! », et après la première mort, au lieu de voir le récit s’accélérer, on retrouve ce rythme très lent…

La chute, je l’ai devinée bien longtemps à l’avance ; mon secret, choisir comme coupable le ou la moins soupçonnable. Vous pouvez vous entraîner avec les film TV.



- En résumé, rien de surprenant dans ce livre, ni la thématique, ni la fin. Toutefois, j’ai été pris par l’action, quand je me suis laissé aller.

Pour passer un moment…



Commenter  J’apprécie          60
Le Chalet des Disparus

Imaginez un chalet de luxe au sommet de la montagne. Votre entreprise y organise une semaine de cohésion. Tout se passe pour le mieux, jusqu’à ce que l’un d’entre vous disparaisse. Et qu’une avalanche vienne vous bloquer à l’intérieur du chalet.



Et bien sûr, si vous ne pouvez pas sortir, les secours ne peuvent pas venir jusqu’à vous. Mais voilà qu’à l’intérieur même de ce chalet, une autre personne meurt.

Pas de doute, il y a un meurtrier parmi vous.



Voici le décor que plante l’autrice avec ce huis clos au froid polaire.



Sur le papier, ce thriller a tout pour séduire son public:



Si j’ai apprécié l’intrigue, et si je n’avais pas vu venir sa solution, ce roman m’a beaucoup trop rappelé un autre du même genre que j’avais lu il y a quelques années, et ça a refroidi mon enthousiasme.



De plus, ayant déjà lu plusieurs romans basés sur cette situation, il m’a manqué un peu d’originalité.



C’est donc un avis en demi-teinte pour ma part. Un roman qui fait le job, mais pour lequel j’ai manqué d’enthousiasme.



Nul doute cependant qu’il saura séduire de nombreux lecteurs, et pour ma part, je vous recommande « La clé du sang » ou « La mort de Mrs Westaway » de la même autrice qui sont des lectures que j’ai grandement appréciées.

Commenter  J’apprécie          60
Promenez-vous dans les bois...

Malgré un titre français, avouons le, un tantinet ridicule (la version anglaise a déjà plus de gueule), Ruth Ware signe ici un thrilleur sympathique mais qui ne restera hélas pas inoubliable pour ma part. Dommage, l’intrigue était bien tentante !





Plusieurs ingrédients appréciables apportent du relief au récit : un huis-clos réunissant d’anciennes connaissances, un décor sauvage, une grande maison oppressante perdue au milieu d’une vaste forêt et des secrets savamment enfuis qui finissent par exploser au visage.





Le tout reste cependant trop caricatural, trop attendu. Un peu comme si l’auteure avait pris soin de checker toutes les cases pour respecter les exigences du genre littéraire.



On se retrouve finalement avec 5 trentenaires qui se comportent comme une bande d’ados pas très futés dont les comportements et les réactions sont pour le moins surprenants. Avec en prime séance de Ouija, partie d’« Action ou Vérité », alcool et drogue à gogo !





Ce qui, selon moi, reste le plus intéressant dans l’intrigue, s’avère être les flash-back distillés tout au long du récit et la perte de mémoire de Nora. On chemine à ses côtés dans la quête d’une vérité qui va éclairer le passé sous un jour nouveau. Ces deux éléments permettent de maintenir un semblant de rythme et de mystère à l'histoire. Qui n’est hélas que de façade puisque l’on devine aisément la révélation finale bien avant l’héroïne elle-même !

Commenter  J’apprécie          60
La clé du sang

J'ai beaucoup aimé ce livre, je ne connaissais pas cette auteure.

Un couplé fortuné qui dirige un cabinet d'architecte passe une annonce plus qu'allechante afin de s'occuper de leurs enfants.

Rowan, qui travaille en crèche et rêve de la quitter va postuler pour ce poste et sera retenue.



Oui mais voilà, vous connaissez l'expression "trop beau pour être vrai ?"

Rowan va vite s'apercevoir que ce poste n'est pas si idyllique que ça... Je vous laisse découvrir, vous n'allez pas être déçus !



Très bonne lecture
Commenter  J’apprécie          60
La clé du sang

La clé du sang de Ruth Ware est un véritable roman gothique.

Un Nounou,

Maison angoissante bourrée de technologie, fillettes toutes plus curieuses.

Parents douteux et absents.

Si vous voulez avoir peur et avoir du mal à dormir après avoir lu un livre, choisissez celui ci !
Commenter  J’apprécie          60
La clé du sang

Ce que j'aime chez Ruth Ware, c'est qu'elle est douée pour créer des personnages féminins qui se retrouvent dans des situations inextricables. Accusées à tort, obligées de mentir sur leur identité, etc.

Dans La Clé du sang (titre bizarre d'ailleurs, pas très incitatif), son héroïne, Rowan, en est l'exemple parfait. La jeune femme de 27 ans, nounou dans une crèche londonienne, quitte ce job et sa chef et ses collègues qu'elle ne peut plus voir en peinture pour un boulot, a priori, de rêve. Elle est recrutée pour être la nourrice de 4 sœurs, des gamines de bonne famille, de 18 mois à 14 ans, dans un manoir isolé en Ecosse (pléonasme, désolée). Nourrie, logée, très bien payée. Le hic, car il y en a un bien sûr, c'est qu'elle succède à une série d'employées qui ont toutes, vite, fui cet endroit et cette famille.

Rowan, elle, se croit bien plus maligne. Ce qui va l'amener... en prison, accusée de meurtre.

Et c'est ainsi que commence l'histoire, par des lettres qu'elle écrit à un avocat pour le convaincre de la défendre. Elle est in-no-cen-te bien sûr, et jure de dire "cette fois" toute la vérité, pas comme au précédent. Moui. La construction est très maligne, prenante. Ses premiers essais de contact épistolaire, touchants. Et puis elle écrit la plus loooongue lettre de la Terre, sur ses quelques jours maudits passés avec Les quatre filles de la famille Grant (ça, ç'aurait été du titre !). Une forme d'autoanalyse aussi, dans laquelle, sous forme de questions-réponses à elle-même, la jeune femme cherche à quel moment tout a vrillé. Beau dynamisme du récit, qui évite l'écueil de la linéarité car il n'y a pas de coupures sous forme de chapitres : parfois, même, on l'entend presque nous parler.

Alors qu'est-ce qui cloche là-haut, en Ecosse ? Le manoir d'abord. Du victorien rénové, à la pointe de la modernité, de la domotique partout (les Grant sont architectes, riches, toujours en déplacement) : tout est contrôlé, lumières, musique , caméras (même dans les chambres), température de l'eau dans la douche, contenu du frigo, par une appli appelée Happy. Flippant. Zéro intimité, les parents voient tout, même partis en colloque. Ce que Rowan ne va pas contrôler, elle, c'est l'hostilité des gamines, qui viendraient même à bout de SuperNanny. Et puis les fantômes, bien sûr. "Ne viens pas ici c'est dangereux. Ils n'aimeraient pas ça", la prévient (la menace ?) une des fillettes. La maison a la réputation d'être hantée, des enfants auraient disparu, seraient morts empoisonnés par les plantes vénéneuses cultivées dans un jardin "clos" dans un coin du vaste parc.

On a beaucoup pensé au Tour d'écrou, classique d'Henry James, en lisant La Clé du sang. Une nurse, des enfants inquiétants, un manoir... Atmosphère gothique malgré la domotique, grâce aux bruits de pas la nuit et aux messages enfantins tracés dans le grenier lui-même dissimulé derrière une porte. Y a t-il vraiment des spectres ? Se joue-t-on de sa naïveté. Qui ? Les parents pervers qui veulent mettre un peu de piquant dans leur vie ? Les gamines insupportables et fusionnelles ? La cuisinière hostile ? L'employé de maison-homme à tout faire, beau, baraqué et terriblement rassurant... au premier abord ?

On est perdu, longtemps, comme dans tout bouquin de Ruth Ware. Elle sait y faire.

Et cette Rowan, nous dit-elle vraiment tout, au fond ? Ne nous raconte t-elle pas ce que tout avocat voudrait lire pour être convaincu de la défendre ? On finit par ne plus savoir quand elle ment, on revient sur nos pas et réinterprète son histoire au fur et à mesure qu'elle déroule (parfois on relève des incohérences, surtout pour une narratrice qui promis-juré cette fois ne ment pas, mais accordons cela à la licence littéraire de l'auteur). Doit-on la détester ou pas ? Après tout, une fillette est morte, cela est indéniable. Par ses soins ou son manque de soin, ça...

L'ultime rebondissement nous fait voir sous un jour encore nouveau toute l'histoire. Celle d'une jeune femme qui l'avait bien dit, que jamais elle ne ferait de mal à ces enfants. Là elle n'a pas menti.

Malin et brillant, peut-être plus encore que les précédents. Hâte de lire le suivant !
Commenter  J’apprécie          60
La disparue de la cabine n° 10

Laura Blacklock , journaliste pour un magazine de voyage a l’occasion de faire un reportage sur la croisière inaugurale ,dans les eaux norvégiennes, de l’Aurora , yacht de luxe appartenant à Lord Richard Bullmer.

Quelques jours avant son départ, elle est victime d’un cambriolage durant lequel elle est légèrement blessée. C’est donc traumatisée qu’elle part faire cette croisière, aussi la première nuit, quand un cri dans la cabine voisine la réveille, elle se précipite sur la terrasse de sa cabine, aperçoit le corp d’une femme sombrer dans les eaux noires et une trainée de sang sur le garde-corps de la cabine voisine, la n° 10.

Elle avertit le responsable de la sécurité, mais la cabine n° 10 n’est pas attribuée, il n’y a aucune trace d’une présence quelconque ni de sang sur le garde-corps.

Laura est décrédibilisée mais ne renonce pas, elle a l’intention de prévenir la police lors de la prochaine escale car une panne internet les coupe du monde depuis leur départ et ne permet aucune communication avec l’extérieur.

Voici le point de départ de ce thriller en huis clos, sans échappatoire possible, hormis la noyade. De multiples rebondissements nous tiennent en haleine et nous lancent sur de fausses pistes, le suspense est entretenu par une dose de mystère qui entoure chaque protagoniste, par des situations trompeuses très bien entretenues par l’écriture alerte de l’auteure qui nous entraine à cent à l’heure dans cette aventure.

Commenter  J’apprécie          60
Les cinq règles du mensonge

Je confirme qu’il est impossible de lâcher le livre une fois la lecture commencée…



Les 5 règles du mensonge est bien une histoire de crime, mais c’est avant tout une histoire d’amitié.



Isa vient d’accoucher d’une petite fille, elle a laissé son passé derrière elle. Mais celui-ci va ressurgir lorsque Kate la contacte, elle, Fatima mais aussi Thea. Isa répond à l’appel de son amie et saute dans le premier train direction Salten.



Ce livre m’aura tenu en haleine jusqu’au bout, bien que le dénouement ne soit pas extrêmement surprenant (je n’en dis pas plus).

Les personnages sont poignants et très « humains ». La narration est très agréable, ni trop rapide ni trop lente, je n’ai pas eu l’occasion de m’ennuyer.

Commenter  J’apprécie          60
Les cinq règles du mensonge

Un sms en pleine nuit : "Besoin de vous". Trois mots suffisent pour que trois femmes quittent immédiatement leurs occupations et rejoignent leur quatrième amie. Dix-sept ans ont passé et chacune mène une vie très différente mais un secret les lie à jamais... J'avoue tout, erreur de casting, j'ai arrêté ma lecture à la moitié. Le titre, la 4°, tout laisse penser à un thriller psychologique quand on lit en fait un lyrique hommage à l'amitié et à la famille, certes autour d'une mort et de vengeance et de mensonges (et calibré en chapitres très courts) mais après la énième description vibrante du pouvoir de l'amitié féminine j'en ai tout simplement eu assez. Ce n'était pas du tout ce que je m'attendais à lire ! Mauvaise pioche pour l'opération Masse Critique de Babelio.
Commenter  J’apprécie          60
La disparue de la cabine n° 10

Bienvenue à bord de l'Aurora Borealis, pour un séjour inaugural à bord d'un yacht très Select, préparez-vous à vivre un huit clos haletant et terrifiant !





Je dois bien l'avouer que rien qu'en lisant le résumé je savais déjà que ce roman allait me plaire. J'ai toujours aimé les livres ou films qui se passent à bord de bateau de croisière, allez savoir pourquoi ;)



Et ici, l'auteure a le don de jouer avec nos nerfs. Tous les ingrédients d'un bon thriller psychologique sont là. Un huit clos à bord de ce yacht qui ne comprend que 10 cabines passagers, et qui réduit la liste des potentiels suspects. Notre personnage principale, Laura dite Lo a déjà vécu des moments difficiles avant son embarquement pour la croisière. Elle est journaliste voyage et doit couvrir la traversée inaugural de l'Aurora. Mais dés la première nuit tout bascule. Qui est la fille de la cabine à côté de la sienne dont personne ne semble connaitre l'existence ? Et qui est le meurtrier ?



On navigue en eaux troubles, et visiblement certaines personnes cachent des choses. La plume de l'auteure est fluide, et j'ai eu l'impression de regarder un film grâce au visuel du récit. En bref, j'ai beaucoup aimé ce livre. Un thriller passionnant, terrifiant, qui est oppressant et qui vous fera passer l'envie de faire une croisière ! Parce qu'en pleine mer, vous êtes pris au piège avec les autres passagers sans moyen de vous échapper ;)



Commenter  J’apprécie          60
La disparue de la cabine n° 10

J'ai tellement aimé le dernier livre de Ruth Ware, La mort de Mrs Westaway que j'ai commandé dans la foulée les deux autres thrillers de cette auteure publiés en France. J'ai beaucoup aimé son premier écrit, malgré le titre français débile : Promenez-vous dans les bois.... pendant que vous êtes encore en vie . Mais. Lorsque j'ai lu celui-ci, j'ai été super déçue, je vais vous dire pourquoi. D'abord ici la 4e de couverture :



"Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à sillonner les eaux du Grand Nord avec seulement une poignée de passagers.

Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, Londonienne, difficile de rêver d'une meilleure occasion de s'éloigner au plus vite de la capitale anglaise.

D'ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l'Aurora rivalisent de jovialité. le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l'eau.

Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord.

Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l'équipage ne manque à l'appel. L'Aurora poursuit sa route comme si de rien n'était.

Le drame ? Laura sait qu'elle ne s'est pas trompée. Ce qui fait d'elle l'unique témoin d'un meurtre, dont l'auteur se trouve toujours à bord..."



Déjà le roman commence par un cambriolage super violent chez l'héroïne, Laura, tout ça pour seulement lui voler son sac. Et de là elle devient parano. Ensuite, l'arrivée dans le bateau de voyage, alors qu'elle a reçu les brochures descriptives, elle est déçue par la petitesse, elle s'attendait à un paquebot super-luxe. (Bizarre pour qqun qui a reçu les pubs et tout). L'auteur essaie de nous faire ressentir une sorte de claustrophobie, mais pour moi, ça ne marche pas. J'ai été très agacée par les rebondissements pas crédibles, par l'impossibilité de connaître et de distinguer chaque personnage, surtout les invités masculins, j'ai été perdue souvent. Ensuite, cette Laura qui veut mener l'enquête tout en, d'un coup, se disant qu'elle doit aller interroger chaque invité pour son article. Ce qu'elle ne fait jamais. Elle n'a ni réseau téléphonique ni wifi. Elle ne s'en inquiète pas plus que ça. Et c'est pas crédible. Enfin tout, quoi, rien n'est crédible.



Le suspense se met en place uniquement les 100 dernières pages. Et avec des trucs pas crédibles genre elle tombe à la mer, en Norvège, elle arrive à nager jusqu'au quai à Trondheim, et là elle a encore son passeport et ses billets dans son portefeuille, intacts.. plein de trucs du genre.



Beaucoup de gens ont aimé, pas moi, désolée. C'est le ratage et la noyade dans l'improbable (même si je déteste ce mot). Heureusement que j'ai lu les deux autres avant : j'aurais pu me mettre à zapper Ruth Ware.



La disparue de la cabine n° 10 - Ruth Ware, Fleuve Noir, 2018, 430 pages, sorti en Pocket.




Lien : https://melieetleslivres.wor..
Commenter  J’apprécie          60
Promenez-vous dans les bois...

Ruth Ware a pour domaine de prédilection le roman psychologique légèrement teinté de thriller.



Promenez-vous dans les bois entre parfaitement dans ce schéma, avec un huis clos en forêt de copines fêtant un enterrement de jeune fille qui va dégénérer. Mais cette déviation ne va pas se faire ni de manière brusque ni dès le début du roman. Bien au contraire, l'auteure va y aller piano piano, en distillant petit à petit des éléments qui vont faire monter la tension parmi les convives avant de porter le coup fatal.



La psychologie est bien entendue centrale dans ce roman, car elle permet de comprendre les personnages, leur histoire et leur relation entre elles; et ce afin de découvrir la clé de l'intrigue, ou tout du moins de réduire la solution à deux candidats.



Mais ce roman ne conviendra pas aux amateurs de page-turnes, hyper-vitaminés. Promenez-vous dans les bois n'est pas de ces romans que vous avez du mal à lâcher. Par contre, il est excellent en tant que livre audio.
Lien : https://quoilire.wordpress.c..
Commenter  J’apprécie          60
La disparue de la cabine n° 10

Je ne sais trop quoi dire de cette lecture...



Comme pour le premier livre que j'ai lu de cet auteur, "Promenez-vous dans les bois", je l'ai lu rapidement mais n'ai rien trouvé de mémorable.



Au départ, j'ai aimé me demander ce qui se passait et puis...on a très vite tourné en rond sans que l'affaire avance. Un petit sursaut de révélation...Et puis d'un coup le rush final arrive et tout s'enchaîne dans une course complètement irréaliste...grosse déception. Et là la phrase de la fin qui m'a, bizarrement, emplie de joie.



Lecture en demie teinte pour la deuxième fois avec cette auteure...
Commenter  J’apprécie          63
Promenez-vous dans les bois...

Une très bonne lecture, on se demande vraiment qui est coupable tout au long du roman, c est très bien écrit et très cohérent!! Petit bémol, étrange mais pour moi c est le titre du livre qui ne va pas et qui au final, a quelque peu gâché ma lecture... je n’en le trouve pas du tout adapté!!
Commenter  J’apprécie          63




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ruth Ware Voir plus

Quiz Voir plus

La clé du sang

Quelle profession exercent Sandra et Bill Elincourt ?

Ils ont architectes.
Ils sont chirurgiens.
Ils sont dentistes.
Ils sont ingénieurs.

12 questions
12 lecteurs ont répondu
Thème : La clé du sang de Ruth WareCréer un quiz sur cet auteur

{* *}