Il y a cependant une chose que je veux que vous sachiez : parce qu’on m’a traité de fou ce jour-là, j’ai été condamné à avoir une existence misérable. Quant à savoir si je suis vraiment fou, je vous en laisse entièrement juge. Mais, en admettant que je le sois, le responsable de cette folie, n’est-ce pas le monstre qui sommeille dans le cœur de chacun de nous ? Du fait de sa présence, même ceux qui se moquent aujourd’hui de moi en me disant fou peuvent très bien, demain, devenir tout aussi fous que moi…