Sa mère était allongée sur la table, sur le dos, la robe remontée jusqu'à la taille et ses seins jaillissaient de son profond décolleté. Ses jambes étaient largement écartées et Dylan se trouvé entre elles
Il avait un coté possessif et dominant qui la charmait totalement. Elle en eu un vague aperçu, du temps ou il vivait encore avec sa mère, et pourtant, elle ne s'était pas du tout attendue à cela. Elle aimait particulièrement quand, au lit, il prenait les commandes et la soumettait à ses désirs.
On croit qu'on est préparé, mais en fait, on line l'est jamais. On s'en rend seulement compte trop tard. Quand le mal est fait.
Plus de retour en arrière possible. Pas de carte "Sortez de prison". Juste la douleur et le néant qui envahissent votre cœur et votre âme.
Rien de bon.
Que du mauvais.
Que du mal.
Uniquement de la douleur.
Pourquoi ai-je parlé ? Pourquoi n'ai-je pas gardé ce secret enfoui au fond de mon cœur plus longtemps ? Pourquoi a-t-il fallu que je me dévoile ?
Parce que je ne peux plus vivre dans le secret. J'en ai marre de me cacher.Et pis…
… je me suis cru plus fort que les autres.
Eh oui.
Connaissant déjà l'opinion de mon père sur les homosexuels, sa réaction était courue d'avance et donc parfaitement prévisible. pas de surprise. Juste une confirmation d'une bien triste réalité.
Donc, oui je me sis cru plus fort. J''ai pensé que j'étais capable d'encaisser, vu que je savais déjà ce qu'il allait faire.
Mensonge !
Utopie…
Tyler commença par embrasser la commissure de ses lèvres.
Une fois, deux fois, trois fois.
« Et là… Bam, ping, pflout, zlip, splang ! Suivi d’un pam, bim, glout, zlurp !!! Tu vois le genre, quoi ? Comment j’ai grave assuré ! s’extasia Jeff, échangeant un regard entendu avec Mathias.
Elijah, Edmund et Owen en restèrent comme deux ronds de flan. Les yeux écarquillés et grand ouverts, sur le point de jaillir de leurs orbites ; la bouche béante, digne d’un Cartoon — avec mâchoire au sol, dents cassées et langue pendante. Ils les fixèrent comme s’ils débarquaient tout droit de la planète Mars… Ce qui était peut-être le cas…
— Carrément ! répliqua Matthias, euphorique. Et tu n’as pas… (il fit un petit mouvement du poignet), tu sais… Vlam ?
Jeff se cogna le front avec le plat de la main.
— Oh bordel, non Le con ! Je n’y ai même pas pensé… J’hallucine, quoi ! Oh, mais le con, mais le con !!! Ça aurait été tellement… tellement… Ouahgdaboumboumsploutch ! »
— Est-ce qu’un putain de jour vous arriverez à ne pas vous comporter comme des gosses ?
Reyes et Scar firent mine de réfléchir. Ils échangèrent un regard complice.
— Ouep, répondit le premier.
— Carrément, surenchérit le deuxième.
— Tiens, donc… Et peut-on savoir quand ce noble jour arrivera ?
— Mais certainement, Vieux Sage. Le jour de ta putain de mort, énonça sobrement Reyes.
— Question d’respect, t’comprends… (Scar haussa les épaules en secouant lentement la tête.) On peut pas t’foutre la honte à ton propre enterrement. T’serais capable d’t’relever pour venir t’venger.
« — Par tous les Saints du Paradis ! T’as vu l’heure ? Vaudrait mieux que ce soit une question de vie ou de mort…, grommela une voix endormie, au bout de quatre longues et interminables sonneries.
Elijah était à des lieux de se soucier du sommeil de ses lieutenants. Il avait besoin d’aide, et il en avait besoin maintenant.
Et oui, c’était une question de vie ou de mort… la sienne !
— Quand tu as une grosse dispute avec Lyon, tu fais comment pour recoller les pots cassés ?
— Je le baise.
Il y eut un instant de flottement.
— Et s’il ne veut pas… ?
Elijah eut de la peine à croire qu’il avait vraiment posé cette question, et encore moins qu’il avait ce genre de discussion avec Roan !
— Je l’attache…
Oh… bordel ! »
La vie était, soit noire, soit blanche. Certains jours sont noirs, et d’autres blancs. Mais rarement, très rarement, les deux à la fois.
Leila était malade depuis trois jours, maintenant. La fièvre la tenait et ne semblait plus vouloir la lâcher, faisant craindre le pire à ses proches. Pourtant, ce qui les inquiétait le plus, c’était les excès de délire qui la prenaient. Ce qu’elle disait n’avait ni queue, ni tête, et ils crurent qu’elle était devenue folle.
Elle se débattait en hurlant à pleins poumons qu’elle était en feu. Au point qu’on avait finalement dû se résigner à l’attacher au lit, pour éviter qu’elle ne se fasse du mal. Elle se contorsionnait dans tous les sens en suppliant qu’on l’aide. Le feu la brûlait et il fallait l’éteindre. Il fallait l’éteindre à tout prix.
Leila était au cœur d’un brasier inépuisable et nul ne semblait pouvoir l’aider. Elle avait la sensation de brûler de l’intérieur. Elle sentait des laves de flammes brûlantes parcourir ses veines. Encore et encore. Elles ne s’arrêtaient jamais, ne lui laissant aucun répit.
Je sens que je vais avoir droit à une remarque bien sentie parce que je suis la dernière, c’est sûr ! Moi qui suis discrète et timide avec les gens que je ne connais pas – et même parfois souvent avec ceux que je connais –, je m’en serais bien passé.
Ni vu ni connu, c’est un peu ma devise.