AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Sabine Bolzan (41)


Elle enfourne sa bécane, la môme accrochée à elle. Elle repart en direction du bassin. Elle roule si vite, les larmes l’aveuglant, qu’elle pourrait se tuer. Elle est enragée parce qu’elle n’a pas été là pour le sauver, lui, qui a toujours été présent pour elle, qui l’a instruite, l’a formée, l’a aimée. Elle n’a pas pu lui dire au revoir, l’embrasser et l’accompagner dans son dernier voyage.
Commenter  J’apprécie          100
Papy s'est tu, gravant à tout jamais cette scène en moi. Je me dirigeai vers lui. Je me blottis dans ses bras et enfouis mon nez dans son cou. Il était grand mon papy. Près de deux mètres. Deux mètres de gentillesse et d'amour
Commenter  J’apprécie          70
Ma jeunesse ne m'empêchera pas de vous foutre dehors si vous n’obéissez pas à mes règles. En revanche ma détermination, mon arrogance et mon audace vont nous porter jusqu'aux podiums les plus connus et, de là, on atteindra le Nirvana.
Commenter  J’apprécie          60
Je me tourne vers lui. Il m'ouvre ses bras et je m'y réfugie. Je perçois les battements du cœur de Paul. Ces battements qui m'ont toujours transportée vers un ailleurs meilleur.
Commenter  J’apprécie          50
"Grelottante, je revenais en courant jusqu'à la terrasse en bois où m'attendait ma grand-mère, peignoir à la main. Elle enveloppait de la douce éponge parfumée à la fleur d'oranger et me frictionnait le dos vigoureusement. Puis, elle me serrait dans ses bras, et nous demeurions ainsi quelques minutes, toutes les deux tournées vers l’océan."
Commenter  J’apprécie          50
Le Cap Ferret était le seul lieu où je me sentais en sécurité, chez nos grands-parents. Nous nous y rendions pendant les vacances scolaires. Ils nous aimaient tels que nous étions. Ils s’inquiétaient quand nous avions de la fièvre, séchaient nos larmes quand nous avions du chagrin, applaudissaient les bonnes notes, nous embrassaient jusqu'à l'usure, nous enlaçaient jusqu'à l'étouffement. Nous les aimions pour ça et pour tout le reste
Commenter  J’apprécie          40
Le Cap Ferret était le seul lieu où je me sentais en sécurité, chez nos grands-parents paternels. Nous nous y rendions pendant les vacances scolaires. Ils nous aimaient tels que nous étions.
Commenter  J’apprécie          40
Je veux ouvrir les paupières ,mais je n’y parviens pas. Elles sont trop lourdes et se referment malgré moi . La bouche pâteuse et les lèvres sèches,j’ai l’impression que tout mon sang s’est concentré dans ma boîte crânienne.
Commenter  J’apprécie          40
Thriller captivant de la première ligne à la dernière. On attend le tome 2 avec impatience.
Commenter  J’apprécie          40
Je pénètre dans la pièce principale. Elle est vide et froide. Comme ma vie.
Commenter  J’apprécie          30
Le processus peut démarrer. D'abord, il les attache et les expose nues à son regard pendant plusieurs jours. Il les affame, les assoiffe. Elles deviennent des animaux, des bêtes sauvages, prêtes à faire n'importe quoi pour un bout de pain ou une goutte d'eau. Il peut faire ce qu'il veut avec elles, aller au bout de l'horreur et de son plaisir.
Commenter  J’apprécie          30
Le processus peut démarrer. D'abord, il les attache et les expose nues à son regard pendant plusieurs jours. Il les affame, les assoiffe. Elles deviennent des animaux, des bêtes sauvages, prêtes à faire n'importe quoi pour un bout de pain ou une goutte d'eau.
Commenter  J’apprécie          30
La douleur le fait plier en deux. D'abord, une plainte, une toute petite plainte. Puis la plainte se change en cri. Ce cri lui vient du ventre, là où Justine aime à poser sa main quand elle s'endort. Il manque de souffle, d'air. Il n'a plus d'oxygène. Pour respirer il doit hurler alors il hurle. Tellement fort qu'il en tombe à genoux.
Commenter  J’apprécie          30
J'ouvre les yeux. Il s'est agenouillé J'explose en larmes, tombé à terre devant lui, je tremble. En reste muette. L'émotion me vide de mes mots, de mes phrases Je ne connais plus la syntaxe, les verbes et les compléments
Commenter  J’apprécie          30
En arrivant sur le perron, l’absence des chiens m’inquiète et relance l’alarme dans ma tête. J’essaie de me raisonner. Il y a forcément une explication : fatigués par leur course effrénée sur la plage, Jules, Julia et Noé se sont assoupis dans la cuisine, sous la cheminée. Ils adorent cette place : en hiver, grâce au feu, il y fait chaud et en été, grâce à la pierre et au carrelage, il y fait frais.
Commenter  J’apprécie          20
Nous étions dans les chais du château Edison. La grosse horloge en bronze au-dessus des lourdes portes en chêne arborait fièrement le blason de ma famille. Je sentais des parfums de vin et de bois. Ces lieux auxquels nous appartenions ne pouvaient plus nous protéger. Nous n’étions en sécurité nulle part. Nous étions des proies faciles, des petits bouts de chair ferme. Pourquoi ? Pourquoi devions-nous subir les assauts d’un fou ? Qu’avions-nous fait, nous des enfants, pour devoir affronter tant de souffrances ?
Commenter  J’apprécie          20
— Je « trouvera » le trésor, alors ?
— Bien sûr. Mais pour ça, il faut être un grand garçon et ne pas avoir peur du noir.
— Tu restes avec moi ?
— Je ne te quitte pas. Alors, une fois que j’ai enjambé le trou, tu me rejoins, OK ?
Corentin pince ses lèvres tout en hochant la tête. Je sais qu’il est terrifié, mais l’idée de trouver un trésor l’aide à combattre la peur.
Commenter  J’apprécie          20
Mon smartphone émet plusieurs bips m'indiquant que j'ai reçu un texto. Je ne comprends pas ce que je lis. Probablement une erreur.
Pourtant un sentiment étrange me submerge. Indéfinissable. L'impression de passer à côté d'un détail important.
Je relis le message et malgré moi, j'en ai la chair de poule:"il ne posera plus les yeux sur moi".
Commenter  J’apprécie          20
"je vous aime", pense très fort Titi. Elle ressent alors une onde chaude lui parcourir le corps, elle sait que c'est l'amour de ses sœurs, de papa et de maman, qui l'inonde de bonheur.
Commenter  J’apprécie          20
Il a commencé avec des chiens errants. Pour les apprivoiser, il suffisait de leur donner régulièrement de la nourriture. Petit à petit, ils se laissaient approcher, puis caresser et enfin câliner. C'est alors qu'il les torturait.
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sabine Bolzan (173)Voir plus

Quiz Voir plus

Scarlett et Novak

Qu'est-ce qu'est Scarlett ?

un téléphone
un brightphone
un biphone
un sonephone

10 questions
18 lecteurs ont répondu
Thème : Scarlett et Novak de Alain DamasioCréer un quiz sur cet auteur

{* *}