Bhagavän n'encourage jamais les personnes qui viennent à lui à confesser leurs fautes. Il ne leur permet pas de poursuivre, leur disant de ne pas demeurer dans le passé mais de trouver qui elles sont, là, dans le présent. Le point majeur n'est pas l'acte, mais l'attachement lui-même qui importe. Rester dans le passé est la pire des choses qu'elles puissent faire. Ce n'est là que pur attachement.
Sa mère continue de l’appeler par son vieux nom, il continue d’aller à l’école, continue de prendre ses repas, mais son véritable « je » ne s’identifie plus « lui-même » à aucune de ces fonctions. Il observe tout, comme l’on regarde un film sur un écran, tout en sachant que ce n’est qu’un film
« Au cours de cette seule petite heure, dans la chambre à l’étage, Venkataraman est devenu une âme totalement réalisée. Maintenant, il a réalisé Dieu. »