Citations de Samuelle Barbier (120)
Chacun ses barreaux, même s'ils ne sont pas faits de la même manière . Mais moi, je peux m'en affranchir. Moi, je peux voler.
Je commence à comprendre qu’en rendant aux autres ce qu’ils ont perdu, je me reconstruis. Comme quoi, une gifle mène parfois au bonheur.
Une fille que je ne connaissais pas vient de changer ma vie à jamais, en cinq secondes. Ça tient à pas grand-chose, parfois, le timing.
Je pense que les chansons les plus fortes sont celles qui nous donnent l'impression qu'on aurait pu les écrire, si seulement on avait réussi à trouver les mots.
Quelqu'un d'autre s'est simplement substitué à nous pour nous permettre d'exprimer nos émotions.
Connaître l’amour d’une vie est-il devenu le privilège d’une génération d’élus ? Ceux qui avaient compris qu’il vaut mieux réparer que remplacer, que le premier choix est souvent le bon, que le premier amour est le seul qui compte ? Se pourrait-il qu’à force de trop chercher le bonheur à l’extérieur de nous, on en oublie que c’est la manière dont on le cultive en nous qui importe vraiment ?
L’univers avait un corps, et un visage, l’univers c’était toi, ta petite main frêle dans la mienne
- Parce que tu en avais besoin, Davina.
Je laisse échapper un rire.
- Besoin de souffrir?
- Besoin de ressentir quelque chose, besoin d'aimer, même par procuration, besoin d'avoir un but.
Je comprends que, même quand tout espoir semble perdu, on peut transformer quelque chose de négatif en quelque chose de positif pour quelqu'un d'autre.
Ton absence, c'est tout ce qui me reste de toi.
" Ça fait mal de perdre quelqu'un qu'on aime. inutile de chercher à le quantifier. Ça fait mal, un point c'est tout. Mal de se lever, mal de respirer, mal de manger, mal de se doucher. On sent comme des courbatures partout tout le temps."
« On pense toujours qu'on va avoir le temps. Le temps de vivre, de se tromper, d'aimer, et que l'on mourra paisiblement, vieille et ridée dans notre lit, en ayant accompli tout ce qu'on désirait. Jusqu'à ce qu'une fille de vingt-huit ans qu'on aime plus que tout se jette du haut d'un pont et fasse voler toutes nos certitudes en éclats. »
Je n'ai pas besoin qu'elles soient physiquement là. Elles sont partout où je suis.
Ça fait mal de perdre quelqu’un qu’on aime. Inutile de chercher à le quantifier, ça fait mal, un point c’est tout. Mal de se lever, mal de respirer, mal de manger, mal de se doucher. On sent comme des courbatures partout, tout le temps. On a comme un goût de bile dans la bouche, quand on parle.
Me revient en mémoire une phrase que ma grand-mère, une écossaise d'une douceur incroyable, me répétait souvent lorsque je me montrais difficile: "Au bout de la patience, il y a le ciel".
Je me dis, moi, qu'il faut faire les choses dont on a envie, tout de suite, parce que la seconde d'après il peut-être trop tard.
Je pense que les chansons les plus fortes sont celles qui nous donnent l'impression qu'on aurait pu les écrire, si seulement on avait réussi à trouver les mots. Quelqu'un d'autre s'est simplement substitué à nous pour nous permettre d'exprimer nos émotions.
Voici un joli roman épistolaire plein d'amour et qui met en scène un jeune détenu et une jeune agoraphobe.
Alors oui, l'histoire d'amour semble un peu facile et le tout a un goût de chamallow. Mais qu'on aime ça! On en redemande même.
Un livre pour tous les passionnés d'histoires d'amour donc.
Je ressens soudain le besoin que le temps extérieur reflète mon tourment intérieur. Vas-y, Zeus, lâche tes éclairs déclenche une tempête, une tornade, un tsunami. Mais rien ne se passe. Il n'y a pas le plus petit souffle de vent. Aujourd, j'ai perdu ma sœur, et l'univers s'en fiche.
Je veux vivre enfin ! Pas seulement survivre.(P133)
Se servir de l'orthographe de "procrastination" pour ne rien faire, ça confine au génie.