La nudité de l’océan l’affole. L’eau à perte de vue, sans une racine où s’agripper, sans une herbe pour accrocher le regard, un désert sans fond, un abîme liquide. Curieusement, cette immensité l’oppresse. Seule leur barque minuscule, entre ciel et terre, est un refuge acceptable.
Si frêle cependant.