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3.98/5 (sur 393 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Sandy Williams est auteur de fantasy urbaine (urban fantasy).

Elle est diplômée en sciences politiques et histoire à l’Université Texas A&M.

Après un séjour prolongé à Londres avec son mari, elle vit à présent au Texas où elle écrit à plein temps et travaille occasionnellement dans des bibliothèques locales.

La Diseuse d’ombres (The Shadow Reader, 2011) est son premier roman publié.

site:
http://sandy-williams.com/

Source : milady.fr
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Bibliographie de Sandy Williams   (5)Voir plus

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Citations et extraits (90) Voir plus Ajouter une citation
J'acquiesce d'un mouvement de tête. Je me fiche de son identité désormais. Je ne veux pas mourir. Je veux vivre. Je veux être normale, avoir mon diplôme, me trouver un vrai travail et passer du temps avec des amis dans le monde réel. Et mince, j'aimerais bien goûter au sexe au moins une fois avant de crever.
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- Ils ne m'ont jamais barricadée dans une pièce ni menacée de mort.
- Ce n'est pas parce que tu ne sais pas que tu es une prisonnière que tu n'en es pas une.
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Ce côté à la fois négligé et sexy lui va très bien, et le fait que je n'y sois pas insensible achève de me mettre en rogne. Un tueur, ça devrait être moche et pleins de cicatrices, pas avoir un visage comme le sien.
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C'est dans des moments comme celui-ci, quand je parcours un autre monde en compagnie de gens qui maîtrisent la magie, que je demande si je ne suis pas folle. Il est possible que mon esprit soit prisonnier d'une sorte d'hallucination sophistiquée, tandis que mon corps serait toujours sanglé à un lit de l'hôpital de Belfont. C'est là-bas que mes parents m'ont envoyée. Je séchais tous mes cours, disparaissais sans donner d'explications, et on m'a surprise plus d'une fois à « parler toute seule » et à « faire des crises ». Kyol a mis un mois avant de m'y retrouver, et pendant ce temps on m'a obligée à avaler des médicaments, entourée de patients réellement fous.
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Un soupçon de doute fissure mon assurance. Et si je me trompais au sujet de la Cour ? Si j'avais passé dix ans à lire les ombres pour les mauvaises personnes ?
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Le syndrome de Stockholm. Ça explique tout. En m'identifiant à mon ravisseur, je crée un sorte de lien affectif tordu avec lui. C'est pour ça que je l'ai sauvé et que je me préoccupe de son bien-être maintenant. Et c'est sans doute pour cette raison que j'éprouve de l'attirance pour lui. Mon esprit magnifie les moindres signes de gentillesse de sa part, au point que j'en arrive à croire qu'il se soucie de moi alors que ce n'est pas le cas.
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Quand Aren sort d'une fissure, j'ai un petit coup au cœur. Il a fière allure. Plus que ça, même. Il porte un costume coûteux, probablement volé dans une boutique de vêtements haut de gamme. Son pantalon moule ses fesses et sa veste semble inviter les mains à se glisser en dessous, sur son torse ferme et jusqu'à ses épaules musclées.

(McKenzy fantasmant sur son ravisseur Aren...)
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Je n'ai pas besoin qu'il souligne mon inconstance et mes contradictions. Je devrais peut-être m'échapper maintenant ? Je suis sûre que je réussirais à le semer, mais de toute évidence, il arrive encore à se servir de certains de ses pouvoirs. Il pourrait emprunter des fissures sur de courtes distances ou trouver un autre moyen pour m'arrêter. Ce n'est pas parce qu'il est guérisseur qu'il n'a pas d'autres talents.
Non mais à qui je veux faire avaler ça ? Rien de tout ça ne m'a arrêtée, avant. Je me trouve des excuses pour rester avec lui. Des excuses faiblardes, en plus. Si je suis toujours là, en réalité, c'est parce que je ne veux pas qu'il meure.

(McKenzy parlant de son ravisseur...)
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—Tu as envie de rester avec moi. Il déclare ça comme si c'était une réalité. Je secoue la tête.
—Ce sont tes edarratae, Aren. C'est tout. Ils jouent avec mes émotions et me poussent à croire que je veux des choses qui ne sont pas bonnes pour moi.
—Je suis d'accord.
— Et peu importe ce que tu... (Une minute.) Tu es d'accord ?
—Taltrayn n'est pas bon pour toi. (Il se rapproche de moi. Je franchis à reculons la grille ouverte et me retrouve dans les jardins.) La Cour n'est pas bonne pour toi. Ce sont eux qui t'ont manipulée.
Le sol cède sous mes talons. Aren tend la main et m'attrape le bras avant que je perde l'équilibre. Frustrée, je le repousse.
— Qu'est-ce que tu attends de moi ? Que je refuse d'y aller ? Tu as besoin de moi pour récupérer Lena et avoir une chance que la Cour relâche Naito.
—Je veux que tu admettes que je ne suis pas un monstre comme la Cour le prétend. Que tu admettes que tu me fais confiance.
—Te faire confiance ? Tu te fiches de moi ? (Je balaie mes cheveux de mon cou et pointe ma cicatrice du doigt.) Tu as failli me tuer !
— Les humains vont t'entendre si tu continues à hurler. (De nouveau, il parcourt la distance qui nous sépare.) Et je me suis excusé, nalkin-shom. Je suis désolé de t'avoir fait du mal.
Il glisse les doigts dans mes cheveux, ramenant mes mèches sombres sur ma cicatrice.
—Vraiment désolé.
[...]
Il passe doucement le pouce sur mon pouls.
—Je regrette qu'on ne t'ait pas trouvée les premiers. Cette loyauté que tu voues à Taltrayn... C'est ahurissant.
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C'est quand même incroyable, non ? J'ai passé dix années à chercher quelqu'un qui puisse combler le vide que Kyol a laissé dans mon cœur, et quand je trouve enfin le bon candidat, c'est un ennemi et un fae.
(…) Non, c'est hors de question. Je n'aime pas Aren. Mince, je ne suis pas comme ces filles qui se font courtiser par deux hommes mais ne savent pas lequel choisir. Quand on est incapable de savoir qui on aime le plus, c'est qu'on n'en aime aucun assez. Je n'ai donc pas de sentiments pour Aren. Je m'y refuse.
Mais je ne veux pas qu'il meure.
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