Et puis la mort doit aussi tenir dans le fait que notre corps se retrouve allongé et sombre dans un profond sommeil dont on ne s'éveille jamais, que nous tombons comme des feuilles à l'automne, cela oui. Notre esprit a beau quitter le corps, il lui faut errer jusqu'à ce qu'il puisse s'infiltrer quelque part ailleurs, c'est encore une fois comme les feuilles mortes de l'automne, oui, cela, oui.