AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Sara Agnès L. (166)


Tu es vraiment mon paradis et mon enfer, gronde-t-il.
C’est toi qui crées l’enfer.
Commenter  J’apprécie          180
Guide-moi. Ça ne doit pas être si difficile Vu que… On est pareils.
Il sourit, mais c’est à peine si je le remarque, car mes doigts tremblent en défaisant le devant de son jeans. Bon sang ! Qu’est-ce que je suis stressé ! Ça ne doit pas être sorcier de branler quelqu’un qui a un sexe similaire au mien !
Commenter  J’apprécie          160
Ce n’est pas la puissance d’un orgasme qui détermine l’intensité de mes sentiments pour toi…
Commenter  J’apprécie          120
Un spasme violent secoua mon corps, puis un deuxième, mais je tentais de le repousser. Laure chuchota :
Oui, jouis comme la petite chienne que tu es !
Commenter  J’apprécie          110
Page 472

-Mais au fond, à quoi ça sert d'avoir peur ? A attendre qu'une tuile nous tombe sur la tête, on finit par ne plus penser au bonheur présent.. Et le présent, c'est tout ce qui compte, non ?



-C'est là où je t'envie. Moi, je pense souvent à la tuile qui va forcément me tomber dessus. Tu comprends, je n'ai pas eu beaucoup de de chance, avant, alors...

-Justement ! s' écrie-t-il. Qu'est-ce qu'on attend pour profiter du bonheur que la vie nous offre ? Et puis... qu'elle tombe, cette tuile ! Ensemble, elle sera bien plus facile à supporter.
Commenter  J’apprécie          100
« C’est ça, le bonheur ». L’homme qu’on aime qui rit, qui cuisine, qui nous sourit, qui nous aime.
Commenter  J’apprécie          100
Je plonge mes yeux dans les siens et j’ajoute, sur un ton plus léger : – Et savoir que mes pipes sont meilleures que les macaronis de ma mère, ça vaut bien un dix. Adam rit et secoue la tête. – Tu es incorrigible ! Il me bascule sur le lit avant d’ajouter, inquiet : – Ne va surtout pas lui raconter ça ! Elle risquerait de me tuer ! Entre deux rires, sa bouche revient sur la mienne, mais au lieu de profiter de la docilité de mon corps sous le sien, il s’arrête brusquement et reporte son attention sur moi. – Quand elle saura, je suis sûr qu’elle te dira que tu méritais mieux qu’un idiot dans mon genre. Sous le charme de son dernier baiser, je le fixe sans comprendre. – Ta mère ! explique-t-il. Je fronce les sourcils et secoue la tête, nullement anxieuse à ce sujet. – Adam, ma mère t’adore ! – Ouais, comme le pote de son fils, mais...comme le petit ami de sa fille ? Elle n’est pas stupide, Claire, elle sait que j’ai fait plein de bêtises ces dernières années. Touchée qu’il pense à ce genre de détails, je souris. – Elle sera très contente, certifié-je. Surtout qu’elle sait que je suis folle de toi depuis des lustres. – Ah ouais ? Tu lui as déjà parlé de ça ? – Non ! Qu’est-ce que tu crois ? Elle a lu mon journal en cachette, évidemment ! Intrigué par mes paroles, Adam demande : – Attends, tu as un journal qui parle de moi ? Est-ce que je pourrai le lire ? – Plutôt mourir !
Commenter  J’apprécie          70
Incapable de détourner mon regard de ce corps détendu, je reste là, à observer Lily qui revient à elle et qui se redresse lentement devant moi. Ses yeux sont brillants, et elle semble toujours sous l’effet bienfaisant de l’orgasme. Petit à petit, elle retrouve contact avec la réalité, et son sourire s’étire.

– C’était…

Pendant qu’elle cherche ses mots, je propose, taquin :

– Sale ?

– Délicieux ! me contredit-elle dans un rire.

Sa bonne humeur fait plaisir à voir et j’y assiste avec un sourire en coin. Je n’ai pas perdu la main. Ni mon petit coup de langue.

Pour une fois, Lily ne cherche pas à s’éloigner de moi, elle me fixe, dans l’attente. De quoi ? Espère-t-elle que j’exige quelque chose ? Probablement. Et même si j’en crève d’envie, je me défends de le faire. Son imbécile de mari l’avait programmée, et moi, j’ai l’intention de changer les choses. Comment ? Je n’en suis pas encore certain, mais pour l’instant, je suis plutôt satisfait de ma première idée.

– Bien, je vais me remettre à mon roman.

Sa consternation s’affiche, et elle tente de me retenir pendant que je me redresse, la queue raide, et bien en évidence, même sous ce peignoir. Sans surprise, Lily le remarque, puis relève de grands yeux clairs vers moi.
Commenter  J’apprécie          70
— Donc, c’est un piège, finis-je par prononcer.
— Il n’y a que des pièges dans la vie, Annabelle. Il faut que tu apprennes à les éviter ou à apprécier ceux dans lesquels tu te laisses tomber.
Commenter  J’apprécie          70
Les sentiments que tu as pour moi sont une autre façon d’alléger ta conscience. Tu ne le fais pas de ton plein gré, tu le fais pour moi. Parce que tu m’aimes. Là est toute la différence entre ce que je te demande et la dévotion dont tu m’es redevable.
Commenter  J’apprécie          70
L’auteur avait une telle finesse à raconter ses aventures sexuelles que je ne pouvais douter de son talent. Il décrivait le contexte très simplement, les scènes et les émotions avec beaucoup de justesse et son style d’écriture était parfaitement adapté pour de tels récits. Contre toute attente, j’avais cru que ce type de littérature aurait été plus vulgaire. Après tout, les récits érotiques ne se prêtaient-ils pas aisément au langage cru ?
Commenter  J’apprécie          70
Je me gratte la tête, me sentant un peu ridicule de parler de ça à Will avant de l’avoir annoncé à la principale intéressée. – Je suis accro à ta sœur, vieux. Je te jure ! Elle va finir par me rendre fou ! William me scrute. On dirait qu’il hésite entre me foutre une raclée ou ficher le camp. Déterminé à accepter sa réaction quelle qu’elle soit, je reste là, à tenter de contrôler ma respiration. – Merde ! lâche-t-il soudain. Et dire que je n’ai rien vu ! C’est pour ça que tu voulais défoncer Marcoux, alors ? – Ouais. Mais je doute que ça ait été une bonne chose. Claire m’a largué juste après. Will pince les lèvres, puis il se met à rire comme un idiot. – Elle t’a largué ? Ma sœur ? Ça m’énerve, surtout parce que tout ça me rappelle ma récente rupture avec Claire. Et pourtant, je ne suis pas mécontent que ma relation avec William reste la même, surtout après mon aveu. Dans un soupir, je dis : – J’ai tout gâché. Tu me connais : je suis un con avec les filles. – Ouais, mais généralement, c’est quand même toi qui les largues, me rappelle-t-il en continuant de rigoler. – Ouais. Mais on ne largue pas une fille comme Claire, admets-je, la gorge serrée. – Pourquoi ? Parce que t’as pris sa virginité ? Sa question me fait froncer les sourcils, mais je n’ai pas le temps de répondre qu’il ajoute : – Je ne te mentirai pas. Elle méritait mieux qu’un coureur de jupons dans ton genre. Et vu comme elle était toujours fourrée avec ce gringalet, cet été, j’ai bien cru qu’il était arrivé à destination. Ou qu’elle finirait par se faire avoir une fois sur le campus. Alors à choisir un idiot, autant que ce soit toi que ce sale con de Marcoux. Je devrais être soulagé par ses propos, mais en réalité, je ne suis pas sûr que ce soit le cas. – Et… ça s’est bien passé, au moins ? me questionne-t-il en retrouvant une expression sérieuse. – Bah… oui. Devant son regard incertain, je hoche la tête de façon frénétique et j’insiste : – C’était vraiment très bien. Super, même. Elle est… incroyable ! Il lève une main devant lui pour m’arrêter. – Je ne veux pas le savoir ! – Oh. Ouais. Je comprends, marmonné-je. Un silence passe durant lequel William me jauge du regard. Possible que ça ne lui fasse pas plaisir d’apprendre que j’ai couché avec Claire, mais il ne paraît pas trop en colère. C’est déjà ça. Ce serait bête de gâcher notre amitié pour une fille. On s’était pourtant promis que ça n’arriverait jamais…, mais ça, c’était avant Claire…
Commenter  J’apprécie          60
Pour tout dire, j'en avais bien assez lu, et je n'étais pas certaine d'être prête à assister à une scène de cet ordre.
Commenter  J’apprécie          60
- Tu en meurs d'envie, murmura-t-il. Laisse ton corps relâcher la pression... Tu verras, le plaisir va chasser ta colère...
Commenter  J’apprécie          50
— Et niveau expérience, vous avez eu beaucoup d’amants ?
Le corps de Victoria se raidit sur la chaise, mais elle redressa fièrement son visage 
:— Trois.Même s’il s’efforça de retenir son étonnement, son corps se pencha vers elle, par-dessus la table, et il la dévisagea :
— Quoi ? Que trois ?Sa question parut la choquer :
— Qu’est-ce que je dois comprendre ? Que ce n’est pas assez pour vous ?
Commenter  J’apprécie          50
Toi, autant que Laure. Je ne voulais certainement pas qu’elle devienne jalouse de toi. J’ai dû lui expliquer que tu étais mon nouveau jouet et que je veillais sur ta sécurité au même titre que j’avais veillé sur la sienne, il y a de cela trois ans. Je comprends, maintenant, que je n’aurais pas dû t’offrir ce statut privilégié à cette fête. Vous auriez dû être égale, toutes les deux
Commenter  J’apprécie          50
Il y a différents types de Maître. Certains ont des besoins particuliers, d’autres aiment le pouvoir. Chacun a sa philosophie, au fond.
Commenter  J’apprécie          50
Ses mots font terriblement sens dans mon esprit. Ce qu' Olivier essaie de me dire,depuis trois jours,c'est exactement ça: que je bouleverse sa vie,qu'il à peur et qu'il à besoin de moi...
- Nous n'aimons pas beaucoup créer des liens, Amy. Et l'amour,pour nous,c'est tellement effrayant que ça nous donne le vertige. Et quand on comprend qu'on peut le perdre,alors...on s'y accroche parfois de toutes nos forces.
Commenter  J’apprécie          40
J’étais dans tous mes états en remontant dans ma voiture. Jay était là, dehors, et il me saluait avec un signe de la main. Il paraissait tout à fait détendu et, à dire vrai, je l’étais aussi, sauf que… je n’arrivais toujours pas à croire ce qui venait de se produire dans cet appartement ! Non seulement Jay m’avait fait le plus incroyable des repas, digne d’un super resto, mais il m’avait offert tellement d’orgasmes ! Je me sentais bien, à croire qu’il avait chassé toutes mes défenses. Peut-être que je n’aurais pas eu le courage de l’arrêter si...
Commenter  J’apprécie          40
elle rejoignit son amant dans la salle de bain et se glissa contre lui, dans l’eau moussante. Il la nettoya et la toucha sans aucune pudeur. Elle fit la même chose avec une joie non feinte. Dire qu’hier encore, elle aurait rougi de le voir nu ou de sentir une main se glisser entre ses fesses, mais après ce qui venait de se produire, elle n’y arrivait plus. Était-ce ainsi que l’on perdait son innocence ? En se caressant devant un homme ? En s’offrant à lui sans retenue ?
Commenter  J’apprécie          40



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Sara Agnès L. (636)Voir plus

Quiz Voir plus

Moi,Boy de Roald Dahl

Quel est le handicap du père de Roald Dahl ?

cul-de-jatte
manchot
autiste

6 questions
314 lecteurs ont répondu
Thème : Moi, boy de Roald DahlCréer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..