AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.01/5 (sur 1074 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Vancouver , 1969
Biographie :

Sara Gruen est une romancière canadienne.

Après avoir obtenu son diplôme en littérature anglaise à l'Université Carleton, elle travaille pendant dix ans à Ottawa.

En 1999, elle déménage aux États pour travailler dans la rédaction technique. Licenciée en 2001, elle décide de se consacrer à l'écriture.

Cavalière émérite, engagée auprès d’organisations de protection des animaux, Sara Gruen puise son inspiration dans sa passion pour les animaux.

Elle est auteur de deux premiers roman, "La Leçon d'équitation" (Riding Lessons, 2004) et "Parcours sans faute" (Flying Changes, 2005).

Elle se fait connaître du public avec la publication de son troisième livre, "De l'eau pour les éléphants" (Water for Elephants, 2006), qui devient numéro un du classement des best-sellers du New York Times.

Le producteur Andrew R. Tennenbaum a acquis les droits d'adaptation au cinéma pour un montant de plus d'un million de dollars. Le film, réalisé par Francis Lawrence est sortie en 2011, avec Reese Witherspoon, Robert Pattinson et Christoph Waltz.

Son quatrième roman, "Ape House" (La Maison des singes) est sorti en 2010 et "At the Water's Edge" - en 2015.

Sara Gruen, qui a la double nationalité, vit à Asheville en Caroline du Nord avec son mari, ses trois fils, deux chiens, deux chats, trois chèvres, et un cheval dans une communauté écologiste.

son site : http://www.saragruen.com/
Twitter : https://twitter.com/saragruen?lang=fr
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Sara Gruen   (6)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Bande Annonce en Français du film De l'eau pour les éléphants.


Citations et extraits (69) Voir plus Ajouter une citation
"C'est cruel l'âge. Au moment où vous commencez à vous débrouiller dans la vie, il vous prive de vos jambes, vous rend bossu. Il vous inflige des douleurs, vous brouille les idées et répand sournoisement le cancer à l'intérieur de votre épouse."
Commenter  J’apprécie          340
Le principal inconvénient, quand on est assis tout seul à une table, c'est qu'on entend les conversations. Je n'espionne personne : impossible de faire autrement.
Commenter  J’apprécie          260
J’ai quatre-vingt-dix ans. Ou quatre-vingt-treize. C’est ou l’un ou l’autre.
Quand on a cinq ans, on sait son âge – au moins près. Même à vingt ans, on sait son âge. J’ai vingt-trois ans, dit-on, ou vingt-sept. Puis, à la trentaine, un étrange phénomène se produit. Ce n’est qu’une simple hésitation, au début. Quel âge as-tu ? Oh, j’ai… – dit-on avec assurance, et là on cale. On allait dire : trente-trois, mais on n’a pas trente-trois ans. On en a trente-cinq. Et là, c’est embêtant, car on se demande si c’est le commencement de la fin. C’est le cas, bien sûr, mais il se passera des dizaines d’années avant qu’on ne l’admette.
Commenter  J’apprécie          170
Elle consulte sa montre - une vraie, avec des aiguilles. La mode des montres à affichage digital est heureusement révolue. Quand comprendra-t-on que toute innovation technologique n'est pas forcément synonyme de progrès ?
Commenter  J’apprécie          170
Grâce au génie publicitaire d'Oncle Al, le grand chapiteau est plein à craquer. On a vendu trop de billets et il a beau adjurer la foule de se serrer pour la quatrième fois, cela ne suffira pas.
Commenter  J’apprécie          150
— Dis-moi, crois-tu vraiment que ce soit le plus grand spectacle du monde ?
Je ne réponds pas.
— Eh bien ? dit-il en me donnant un coup d’épaule.
— Je ne sais pas.
— Tu parles ! On en est loin ! On marche au tiers des capacités de Barnum. Tu sais déjà que Marlène n’est pas une princesse roumaine. Quant à Lucinda… ? Elle est loin de faire quatre cent quarante kilos, plutôt deux cents, tout au plus. Et crois-tu vraiment que Frank Otto ait été tatoué par les cannibales de Bornéo ? Tu parles ! Il plantait des piquets avec les gars de l’Escadron Volant… Ses tatouages sont le fruit de neuf années de travail ; et tu veux savoir ce qu’a fait Oncle Al, quand l’hippopotame est mort ? Il l’a mis dans du formol pour pouvoir continuer à l’exhiber. Pendant deux semaines, on a voyagé avec un hippopotame en bocal… ! Tout n’est qu’illusion, Jacob, et c’est très bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous.
Commenter  J’apprécie          120
On se met à oublier des mots: ils sont sur le bout de votre langue-et le hic, c'est qu'ils y restent! On va chercher quelque chose, et en cours de route, on ne se rappelle pas quoi. On appelle un enfant par le nom de tous ses frères et soeurs et même celui du chien, avant de tomber sur le bon.
Commenter  J’apprécie          130
« Tout n’est qu’illusion Jacob, et c’est bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous. »
Commenter  J’apprécie          140
Je lui lance un regard insistant. J'ai envie de l'embrasser. Jamais je n'ai eu autant envie de quelque chose dans ma vie.
Commenter  J’apprécie          130
Je passe la nuit sur une couverture de paddock chiffonnée, contre la cloison, le plus loin possible du lit de camp. Cette couverture est trempée. Le type qui devait bâcher les lattes quand on a converti cet endroit en chambre a mal fait son boulot, car ce truc a pris la pluie et pue le moisi. Je me réveille en sursaut. Je me suis gratté les bras et le cou jusqu'au sang. J'ignore si c'est une allergie au poil de cheval ou la vermine, et je ne veux pas le savoir.
Commenter  J’apprécie          100

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sara Gruen (1531)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand le tube se met à la littérature

Paul Verlaine

Johnny Halliday
Dave
Serge Gainsbourg
Alain Souchon
Jacques Brel

10 questions
260 lecteurs ont répondu
Thèmes : chansonCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..